Vivre ensemble numéro 300 – Mars 2010
1.1. À l’église saint-michel - concert solidaire
1.2. Portes ouvertes - au lycée Édouard-Branly
1.3. Sur les îles - au bonheur de la chine
1.4. Théâtre de l’estrade - oratorio pour tragédie
1.13. À la cristol’ludo - des jeux pour vos soirées
1.14. Exposition - de la création
1.15. Théâtre des coteaux-du-sud - femmes en scène
1.24. Passeports et cartes d’identité
1.26. Conférence - A la lumière de Turner
1.27. Les mardis de l’eau - de la nature des femmes…
1.28. Maternelles - il faut s’inscrire maintenant
1.37. Au club de creteil - l’histoire du large
2. Le bloc notes de Laurent Cathala
2.3. Sécuriser la vie scolaire
3.3. Rencontres photographiques
4.1. Réforme de l’Hôpital : vers une médecine mercantile ?
4.2. Suppression de 3 à 4 000 postes en région parisienne
4.3. Les regroupements d’établissements : une santé à l’économie
4.4. Ce que prévoit le Groupement de coopération sanitaire Chic/Chenevier-Mondor
4.5. Laurent Cathala, député-maire, a soulevé plusieurs questions :
4.6. Le point de vue des syndicats des personnels soignants du CHU Mondor
4.7. Conséquences pour les hôpitaux du Val-de-Marne
6. Logement Social, la Ville rachète 2 752 logements à Icade
6.1. Une volonté de préserver ce patrimoine
6.2. De grandes disparités entre les logements
6.3. Un effort financier sans précédent
6.4. Icade : une vocation sociale qui finit mal
6.5. Les immeubles concernés au Mont-Mesly
7.1. Bras-du-Chapitre, Grand nettoyage de printemps
7.2.2. Participez au carnaval !
7.2.3. Bleuets-Bordières-Pinsons
8. Développement durable, tous ensemble pour la planète !
8.1. Sensibiliser tous les publics
8.2. Des conseils personnalisés pour vos travaux d’énergie !
8.2.1. Des animations : Ciné-Rencontre
10. Cinéma Festival Afrique autoportrait
10.2.5. À la frontière des genres
10.2.7. Aux Cinémas du Palais-Armand Badeyan
11. Parcs et jardins, Les fleurs du mal…
12.2.1. Evelina Domnitch et Dmitry Gelfand, Miniature #1 [Sonolevitation]
12.2.2. Lawrence Malstaf, Miniature #2 [Shrink]
13.7. Renseignements et réservations
14. Sports Football, Un vrai tournoi !
14.2. D’Île-de-France et d’ailleurs
14.3. Dans l’ombre de l’équipe de National, les équipes régionales
16. Découvrir, Les arts plastiques avec les artistes du Port et de la Source
16.2. Bulletin d’inscription aux ateliers Jour de fête 2010
17.1.2. - Chantal Dupuy-Dunier et Marie Étienne
17.2.1. - Los Angeles Nuggets (1965-1968)
17.2.2. - The Whitefield Brothers
18.1. Liste « Une ville pour tous et chacun »
18.2. Liste « Agir pour Créteil »
18.3. Liste « Un nouveau souffle pour Créteil »
18.4. Liste « Créteil a besoin des Verts »
19.1. Cinémas du Palais Armand-Badeyan
Pour venir en aide à l’orphelinat Mimosa en Haïti, l’Association d’animation Saint-Michel organise avec le Comité de Jumelage un concert le dimanche 28 mars à 15h, en l’église Saint-Michel du Mont-Mesly. Au programme : Chœur de Saint-Christophe, ensembles instrumentaux et atelier Gospel du conservatoire Marcel-Dadi, Groupe Expression Gospel. Lors du concert, vous pourrez remettre vos dons et vous renseigner sur des possibilités de parrainages d’enfants. Plus de renseignements en composant le 01 43 39 80 38/01 43 99 11 65.
Le lycée Édouard-Branly, 33, rue du Petit-Bois, qui dispense des formations scientifiques, technologiques et professionnelles, ouvrira ses portes les vendredi 9 avril (14h-18h) et samedi 10 avril (8h-12h). Visites, animations, présentations des formations initiales et apprentissages, informations et conseils personnalisés seront proposés aux parents accompagnés de leurs enfants durant ces deux jours.
Plus de renseignements en composant le 01 43 39 34 75 ou le 01 43 39 96 13 (documentaliste).
C’est le dimanche 28 mars que se tiendra la traditionnelle Brocante des îles, 23e édition, à l’initiative de l’Association pour la Sauvegarde du Bras-du-Chapitre et de ses abords. Dans le cadre préservé et romantique des îles Brise-Pain et Sainte-Catherine, laissez-vous aller au plaisir de flâner à la recherche de l’objet rare, insolite ou espéré… Tous renseignements en composant le 01 41 78 60 24.
En avant-première de sa nouvelle création, L’Arbre des tropiques de Yukio Mishima, le Théâtre de l’Estrade propose un oratorio/lecture mettant en lumière le texte et les options de la future mise en scène (musique, vidéo, costumes…). Dans une société contemporaine où les usines se développent aux dépens d’une nature sacrifiée, Mishima, reprend le cycle de la tragédie grecque des Atrides et réunit dans une même pièce les thèmes d’Œdipe et d’Électre – parricide et matricide – auxquels il adjoint l’inceste du frère et de la sœur. Pour une floraison impitoyablement sanglante… A découvrir au Club de Créteil le samedi 20 mars à 20h30. Participation : 10 € et 5 €. Réservations au 01 48 99 75 40.
Un stage peinture, tous niveaux, sera animé par Nathalie Ouamrane, le dimanche 28 mars, de 14h à 17h, à la MJC Club. Au programme : réalisation de croquis et étude de nu avec modèle. Tarif : 28 € + 13 € (adhésion MJC). Inscriptions avant le 23 mars au 01 48 99 75 40.
Deux femmes, enfermées dans un asile psychiatrique, se construisent une amitié-rempart contre tout ce qu’elles fuient et haïssent. C’est Sagesse et Folie, un spectacle plein d’humour et d’émotion, servi par deux talents fous… Représentation les 19 et 20 mars à 20h30 au Trac Théâtre, 89, av. du Dr-Paul-Casalis. Prix des places : 12 € et 8 €. Réservations au 01 48 99 29 05.
Les bogolans sont des cotonnades teintes et ornées de motifs symboliques selon un savoir-faire traditionnel du Mali, Burkina Faso et Guinée. Djibril Maïga, artiste peintre bogolan (site Internet http:// bogolanmaidji.free.fr) animera un stage destiné aux adultes à la MJC Village qui comprendra six ateliers. Ceux-ci auront lieu les jeudis 11, 18, 25 mars et les jeudis 1er, 8 et 15 avril, de 10h à 12h. Participation : 80 €. Inscriptions auprès de Maryse au 01 48 99 38 03.
Le lycée professionnel Morin ouvre ses portes le samedi 27 mars, de 9h30 à 17h30, afin de présenter ses formations, son équipe et les réalisations de ses élèves. Avec plus de 45 ans d’expérience, cet établissement forme aux métiers de la comptabilité, du secrétariat, de la vente, de la logistique et de la communication graphique et prend en charge les élèves de la 3e au bac professionnel en trois ans. N’hésitez pas à venir avec votre enfant pour l’éclairer sur son orientation. Lycée Morin, 22, avenue de Verdun, tél. : 01 45 17 21 70.
Le centre Rebérioux accueille en résidence, du 15 au 19 mars, Robin Kobrynski et Tasman Richardson pour la finalisation de leur projet, Temporary Temple, commencé au Canada et joué à Créteil, lors du festival VisionSonic en octobre dernier. Une création basée sur la récupération d’images et de sons (venant de documentaires, de films, de la télé…) permettant de recréer une narration et dont la présentation est ouverte au public. Le vendredi 19 mars à partir de 19h30, les deux artistes proposeront aussi un atelier pédagogique gratuit dédié à la découverte de la vidéo-muisque.
Entrée libre sur réservation au 01 41 94 18 15.
La MJC Club vous invite à son rendez-vous mensuel pour faire une jam, le lundi 8 mars à partir de 20h. Restauration légère possible sur place. Entrée 3 €. Tous renseignements au 01 48 99 75 40.
Pour sortir en mai, demandez le programme de l’Organisation municipale de tourisme ! Samedi 8 mai, “évasion dans le monde animal” avec la visite d’une autrucherie, puis du Parc des Félins en Seine-et-Marne. Plus culturelle, l’évasion du dimanche vous mènera à Giverny, dans la demeure normande transformée en musée du peintre impressionniste Claude Monet. Et samedi 29 mai, vous découvrirez Évreux, “la cité jolie”, entre dégustation de chocolat (le matin) et promenade en calèche (l’après-midi). Les inscriptions sont à effectuer dès ce mois-ci. Renseignements et réservations au 01 58 43 37 01.
Lire en ligne… blogs littéraires, actualité éditoriale, tout un univers de mots en un clic ! C’est l’atelier multimédia proposé par les bibliothécaires, le samedi 13 mars à 10h, à la bibliothèque multimédia de la Croix-des-Mèches.
A partir de 14 ans. Gratuit sur réservation au 01 42 07 62 82.
Du nouveau à la Cristol’Ludo ! A partir de ce mois-ci, l’équipe de la ludothèque organise, tous les premiers vendredis de chaque mois, une soirée jeux de 19h30 à 23h30. Toute personne intéressée qui a plus de 11 ans peut venir sans réservation au préalable. Pour les mineurs, une autorisation parentale est obligatoire. L’entrée est de 2 € par personne non adhérente à la ludothèque et gratuite pour les adhérents. Tous renseignements en composant le 01 42 07 58 54.
“Créateur de vie et Immolateur./Amoureux de la pensée. Voleur de l’oubli./Le modeleur sculpteur dieu d’un instant.” C’est ainsi que s’exprime Béatrice Koster, qui anime, depuis plus de trente ans, les ateliers terre-modelage à la MJC Village, 57, rue du Général-Leclerc (tél. : 01 48 99 38 03). Du 23 mars au 16 avril, elle vous propose de venir y découvrir ses dernières œuvres et partager ses réflexions sur la création.
En mars, le Théâtre des Coteaux-du-Sud célèbre les femmes et met en lumière des auteures, musiciennes et comédiennes, “Les Pluri-elles”. Une soirée-cabaret aura lieu le samedi 13 mars à 20h30 où amateurs et professionnels sont invités à partager le plateau autour du thème “Fruits Mûrs” avec, en avant-première, Brigitte Le Gargasson et Georgia Ghestem qui croqueront en chansons et textes cet adage savoureux : “Tout âge a ses fruits qu’il faut savoir attendre pour cueillir !” Dimanche 28 mars à 16h, Céline Caussimon et Cécile Girard présenteront Côte à Côte, un savoureux cocktail de chansons, de violoncelle et d’accordéon. Tous renseignements au 01 43 77 71 95.
Des associations du quartier du Palais, Association Loisirs du Palais et Entre Parents, convient les enfants du quartier avec leurs parents pour une grande chasse à l’œuf de Pâques (il y aura plein d’indices pour les découvrir…).
Rendez-vous le dimanche 4 avril à 9h30 devant le Forum Café, allée Parmentier.
Dans le cadre “Immigration-Citoyenneté”, l’Union locale des centres sociaux et culturels et l’association Filles et Fils de la République lancent toute une série d’animations et de rencontres. Le 12 mars à 20h30, soirée-lecture à l’annexe du centre des petits-pres-sablieres (01 42 07 01 38) autour de Un pays ça veut dire… Le 13 mars à 14h30, projection à La Lucarne du Garçon qui ne voulait plus parler, suivie d’un débat avec le Réseau Éducation sans frontière ; exposition d’affiches à la MJC du Mont-Mesly (01 45 13 17 00). Les 16 et 30 mars, de 9h30 à 17h, un groupe de réflexion débattra de la question “Émigration-Immigration” (pour professionnels socioculturels, sur inscription au 01 42 07 01 38). Enfin, le 26 mars à 20h30, une conférence-débat “Islam et Citoyenneté” sera animée par Dounia Bouzar, anthropologue du fait religieux (Petits-Prés-Sablières).
La Cie Le Théâtre Perdu présente Le Cidre ou la folle aventure du courageux Rodrigue de Grégory Charpenne. Une parodie rocambolesque du Cid de Corneille dans laquelle les personnages ont comme priorité essentielle le divertissement des spectateurs. C’est le samedi 13 mars à 20h30 et le dimanche 14 mars à 16h à la MJC Village (01 48 99 38 03).
Participation : 8 € et 6 €.
Un stage d’initiation à la sophrologie aura lieu à la MJC du Mont-Mesly, le dimanche 21 mars de 14h à 16h30. Au programme : travail corporel doux, tests respiratoires, éveil-conscience du corps ; travail sophrologique ; relaxation.
Participation : 20 € (+ adhésion MJC). Nombre de places limité. Renseignements et inscriptions au 01 45 13 17 00.
“Couleur Femme” est le thème qui illustrera la 12e édition du Printemps des Poètes, manifestation nationale à laquelle s’associe la MJC Village. C’est ainsi qu’elle propose, du 8 au 21 mars, “Peinture et poésie”, une exposition présentant les peintures de Charles Fulgeras. Elle invite aussi tous les poètes amateurs et professionnels pour une scène ouverte, le samedi 20 mars à partir de 19h.
Plus de renseignements au 01 48 99 38 03.
“Chacun sait quelque chose et peut le transmettre”, telle est la devise du réseau d’échanges réciproques de savoirs, initié par la Maison de la Solidarité, où tout rapport avec l’argent est exclu. Il suffit de formuler une offre et une demande de savoirs : intellectuels, ménagers, manuels… Pour plus de renseignements, venez à la prochaine rencontre qui aura lieu le vendredi 26 mars à partir de 18h45 à la Maison de la Solidarité, 1, rue Albert-Doyen, tél. : 01 43 77 62 73.
Le Bridge Club de Créteil change de numéro de téléphone qui devient désormais le 01 78 54 34 07. Le Club rappelle par ailleurs que des tournois ont lieu tous les lundis et vendredis de 14h à 18h, ainsi que tous les deuxièmes dimanches du mois. Les tournois du comité se tiendront les 9 avril et 4 juin. N’hésitez pas à le contacter.
L’association Belo Horizonte Capoeira vous invite à découvrir ce sport national du Brésil à l’occasion d’un stage qui aura lieu à la MJC Club, rue Charpy, le dimanche 28 mars de 13h à 17h. Ce stage est ouvert à tous avec passage de grades pour ceux qui ont déjà pratiqué la discipline. Participation : 30 € et 40 € (avec passage de grade) + adhésion MJC de 12 € (- 18 ans) et 13 € (+ 18 ans). Inscriptions avant le 23 mars au 01 48 99 75 40.
Vous partez en voyage à l’étranger ? Vous devez passer un concours ou un examen ? Pensez à vérifier que vos titres d’identité et de voyage sont encore valides.
La demande de carte d’identité peut être déposée à l’hôtel de ville ou dans les relais-mairie (le délai actuel d’obtention est de six semaines).
Pour l’établissement d’un passeport, depuis la mise en place des dispositifs de recueil des demandes de titre électronique sécurisé, vous avez la possibilité de déposer votre dossier dans toutes les communes équipées sur le territoire national. A Créteil, trois sites sont équipés : l’hôtel de ville (01 49 80 92 94) ; le relais-mairie Henri-Dunant (01 41 78 91 05) ; le relais-mairie du Palais (01 42 07 41 23).
Certains jours, les demandes sont reçues uniquement sur rendez-vous. Vous pouvez consulter les horaires ainsi que la liste des documents à fournir sur le site Internet www.ville-creteil.fr.
En fonction de l’afflux des demandes, le délai d’obtention d’un passeport peut atteindre sept semaines. Ne réservez aucun voyage avant la remise de votre passeport.
En écho à l’exposition présentée actuellement au Grand Palais, Sylvie Testamark dédie sa prochaine conférence au grand peintre anglais William Turner (1775-1851). Essentiellement paysagiste, Turner tendit de plus en plus (surtout après ses voyages en Italie) à dissoudre les formes dans le frémissement de l’atmosphère et de la lumière. C’est le samedi 20 mars à 16h30 à la MJC Village (01 48 99 38 03). Participation : 6 € et 4 € (adhérents).
Depuis plusieurs décennies, les mouvements de défense de l’environnement dans les pays du Sud, et notoirement les luttes pour la défense de l’eau, sont marqués par le rôle considérable qu’y jouent des femmes. Les conférences des “Mardis de l’eau” proposent d’exposer ces mouvements féminins et d’explorer les questions majeures qu’ils soulèvent. Mardi 30 mars, à 19h, une conférence-débat aura lieu à la MJC du Mont-Mesly, 100, rue Juliette-Savar. Sur le thème “Existe-t-il une nature propre aux femmes ?”, elle sera animée par Évelyne Peyre, paléoanthropologue, et Joëlle Wiels, biologiste, qui mènent, depuis longtemps, une réflexion sur les relations entre le sexe biologique et le sexe social. Entrée libre. Réservation conseillée au : 01 45 13 17 00.
Les inscriptions en maternelle pour la rentrée de septembre 2010 sont à effectuer impérativement entre le 1er février et le 30 avril au service scolaire de l’hôtel de ville (guichets 23/24, tél. :
01 58 43 35 91) ou dans un relais-mairie :
- relais-mairie Dunant [Créteil Village] : 01 41 78 91 05 ;
- Maison des services publics [centre commercial du Palais] : 01 42 07 41 23 ;
- relais-mairie des Bleuets-Bordières : 01 56 71 89 89 ;
- relais-mairie de l’Abbaye [Mont-Mesly] : 01 43 77 40 53.
Pièces à fournir (les originaux sont exigés) :
- le livret de famille ou un extrait de naissance (de moins de 3 mois) ;
- notification de la caisse des Allocations familiales ;
- 2 justificatifs de domicile (quittances de loyer, d’EDF). Pour les personnes hébergées : certificat d’hébergement, quittance EDF du lieu d’hébergement, carte de Sécurité sociale ou autre (CAF, attestation d’assurance…) ;
- le carnet de santé ou un certificat de vaccinations ou un certificat médical précisant les dates des vaccinations obligatoires ;
- pour les enfants déjà scolarisés, un certificat de radiation du précédent établissement.
Attention : pour assurer les relations avec les familles en cas d’urgence, il vous sera demandé impérativement les noms, adresses et numéros de téléphone de vos employeurs.
Tous renseignements au 01 58 43 35 91.
Duo, solo, trio… Les élèves de saxophone donneront un concert le vendredi 2 avril à 20h à la MJC du Mont-Mesly, 100, rue Juliette-Savar. N’hésitez pas à venir applaudir leur talent… L’entrée est libre. Réservations conseillées au 01 45 13 17 00.
L’Université Inter-Âges (UIA) a ouvert un cours d’informatique sur la “Création et gestion de sites web”. Assuré par Jean-Claude Gutierrez, il a lieu le mercredi, de 14h à 17h, 6, place de l’Abbaye, aux dates suivantes : les 10, 17 et 24 mars, le 14 avril, les 5, 12 et 19 mai. Si vous êtes intéressé, contactez l’UIA, le matin, au 01 45 13 24 49.
Célébré depuis au moins 3 000 ans, Norouz est la grande fête traditionnelle du nouvel an du calendrier iranien, le premier jour du printemps. Repas en famille, habits neufs, fleurs (jacinthes véritables et tulipes, en particulier) saluent la renaissance de la nature. L'Association socioculturelle des Iraniens vous invite à célébrer le nouvel an perse, le samedi 20 mars à la salle des fêtes, 7, avenue Georges-Duhamel. Animée par les DJ Bardia et Pouya (musique pop iranienne), la soirée se déroulera de 20h à 1 heure du matin. Entrée : 12 € (prévente : 10 €). Des spécialités iraniennes seront servies pour le dîner (dîner + boisson : 10 €). Bienvenue à tous ! Contact au 06 26 91 00 85/06 72 75 83 63.
C’est le nom d’une nouvelle association cristolienne. Son objet : orienter le grand public vers une curiosité culturelle, intellectuelle ou philosophique concernant les pays du Maghreb, du Proche- et Moyen-Orient, à travers des animations culturelles et artistiques, des repas solidaires et des rencontres-débats. Une partie des recettes sera reversée à des projets de solidarité internationale.
Tous renseignements au 06 10 70 19 27/mail : orienthe@gmail.com
Le Café des enfants propose aux enfants de 5 à 11 ans des séances de contes et marionnettes où ils apprennent à composer des personnages, manipuler les marionnettes, libérer leur imaginaire. La prochaine séance, placée sous le signe de l’année culturelle en Russie, aura lieu le samedi 20 mars (de 15h à 17h) à l’Atelier-Théâtre, 89, avenue du Dr-Paul-Casalis. Participation aux frais : 4 € (goûter russe offert), gratuit pour les adhérents. Réservation obligatoire au 01 42 54 01 67 ou par mail : monikarusz@wanadoo.fr
Ghislaine Decimus de la Cie Boukousou animera, accompagnée d’un percussionniste, un stage de danse africaine, pour débutants ou initiés, le dimanche 28 mars de 13h30 à 16h30, à la MJC Club. Tarif : 28 € + 13 € (adhésion MJC).
Inscriptions avant le 23 mars au 01 48 99 75 40.
La prochaine soirée-débat du Pij (Point Information Jeunesse) aura lieu le mardi 16 mars à 19h au centre sportif André-Dassibat, 7, rue François-Mauriac. Animée par maître Diane Maccagno, avocate à la cour, elle portera sur l’accès aux droits. Entrée libre. Plus de renseignements au 01 48 98 58 10.
À retenir sans faute ! C'est le samedi 6 mars, à partir de 20h, que le Club animation et loisirs du Montaigut (Calm) vous donne rendez-vous à la salle Jean-Cocteau, 14, rue des Écoles pour son super loto sympa. Buffet-bar, nombreux lots, venez nombreux !
Basé sur des chants maritimes et des témoignages de cap-horniers, Valparaiso est un spectacle émouvant et festif qui raconte la petite et la grande histoire des marins au long cours ; celle aussi, silencieuse, de ces femmes de marins, “presque veuves” d’un mari qu’elles ne voyaient jamais… Et puis l’histoire d’une quête de liberté et d’une extraordinaire aventure humaine qui a, durant des millénaires, poussé les hommes à aller chercher, “dans l’eau-de-là des mers”, ce qu’ils ne trouvaient pas ici-bas. Un spectacle musical de la Cie des Oiseaux de Nacre, écrit et mis en scène par Frédérique Forgeard. C’est le samedi 27 mars à 20h30 au Club de Créteil (01 48 99 75 40). Entrée : 8 € et 6 €.
Pour un dimanche jazzy, rendez-vous à la MJC du Mont-Mesly, le dimanche 28 mars à 15h, pour un concert “Le jazz et ses
racines”. Avec l’atelier “Percussions, musique traditionnelle africaine” de Thierry Duprat et l’atelier “Basse et batterie” de Laurent Bernard. Entrée libre. Réservations conseillées au 01 45 13 17 00.
Le Pib (Point Info Bénévolat) recherche des bénévoles pour les associations cristoliennes (culturelles, caritatives, humanitaires…). Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Que vous ayez à consacrer une heure par semaine ou davantage, des compétences techniques ou simplement l’envie de partager votre dynamisme et votre savoir-faire, n’hésitez pas à contacter le Pib en composant le 01 43 39 68 29 ou par mail : information.bénévolat@ville-creteil.fr
Françoise Viet-Bernadat vous “contera Salzbourg”, le samedi 27 mars à 16h30 à la MJC Village (01 48 99 38 03). Le fameux festival de Salzbourg, ville natale de Mozart, fête ses cent ans cette année. Une belle aventure initiée, en 1910, autour des œuvres du musicien et qui vit défiler les chefs les plus prestigieux (Strauss, Toscanini…) comme les interprètes les plus brillants de l’art lyrique. Participation : 6 € et 4 € (adhérents).
L’association Place au vélo à Créteil reprend ses rondes à vélo. La prochaine aura lieu le samedi 20 mars. Rendez-vous à 15h, place de l’Église pour un parcours dans Créteil d’environ deux heures. Pensez à vérifier votre vélo avant la sortie. Les enfants, bienvenus, sont sous la garde des parents. Tous renseignements auprès de Maurice Duprez au 06 74 25 21 60.
Le gouvernement a entrepris à marche forcée une refonte totale des territoires, fractionnée en quatre projets de loi. Après la suppression de la taxe professionnelle, c’est la réforme des collectivités locales qui est entrée en débat au Parlement. Ce texte prévoit la quasi-fusion des conseils généraux et des conseils régionaux ; les compétences de ces assemblées seront définies par l'État, leurs champs d’intervention restreints, le nombre de leurs élus, dont le mode de scrutin change, sera fixé par ordonnance. Le rôle des préfets dans les politiques territoriales sera renforcé, ils pourront, notamment, modifier le contour des intercommunalités. Enfin, l’autonomie financière des collectivités locales, pourtant inscrite dans la Constitution, sera largement amputée. Même si le débat peut sembler très technique à beaucoup de nos concitoyens, il s’agit là d’un grave recul de la liberté et de l’autonomie des communes au profit d’une recentralisation voulue par l’État. Si une réorganisation administrative est souhaitable, c’est au contraire en allant vers un renforcement de la décentralisation, de la démocratie locale et de l’égalité républicaine pour mieux défendre nos territoires, développer les solidarités, assurer un service public de qualité dans nos villes, nos villages et nos quartiers.
Paris-XII a connu sur notre territoire un développement exceptionnel, fortement encouragé par la Ville, jusqu’à devenir la plus grande université multidisciplinaire et professionnalisée d’Île-de-France. Aujourd’hui, elle change de nom : en devenant l’université Paris-Est Créteil Val-de-Marne (Upec), elle souligne son ancrage dans le département et ses liens historiques avec Créteil, où sont accueillis près de 90% de ses 32 000 étudiants, en même temps qu’elle marque son appartenance au Pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) université Paris-Est, dont elle est membre fondateur. En intégrant cet ensemble confédéral auquel se sont ralliées d’autres universités (Cité Descartes, Marne-la-Vallée…) et de prestigieuses grandes écoles (École vétérinaire d’Alfort, Institut national de l’audiovisuel, École et laboratoire des ponts et chaussées, Esiee, etc.), elle espère une meilleure coordination des formations, le développement de synergies entre instituts et équipes de recherche, une amélioration de sa visibilité et de son attractivité internationale. Parallèlement, dans le cadre de la loi LRU votée récemment, l’autonomie des établissements supérieurs se voit renforcée, notamment en termes de budgets et de gestion des personnels. Plusieurs aspects de cette loi font l’objet de controverses et des inquiétudes subsistent, notamment sur les financements futurs et sur le devenir de la formation des maîtres. Mais il faut aller de l’avant et je tiens à réaffirmer mon attachement à notre université et à souhaiter, en ce début d’année, bonne chance et pleine réussite au nouveau pôle Paris-Est qui offrira, je l’espère, encore plus d’opportunités et de chances de réussite à notre jeunesse.
De récents et graves incidents, en particulier dans un lycée du Kremlin-Bicêtre, ont mis l’accent sur les violences en milieu scolaire. Ces faits, en augmentation constante depuis des années, ont des causes complexes et multiples et appellent des réponses coordonnées entre tous les acteurs concernés. Le travail de fond mené à Créteil depuis des années a permis, notamment, la mise en place de nombreuses actions de réussite éducative dont les “clubs coup de pouce”, les classes relais, les “cafés des parents”, sans oublier l’apport, en matière de prévention, d’un réseau sportif et culturel très dynamique. Dans le cadre d’une réflexion partenariale à laquelle participent l’inspecteur d’académie, le commissaire de police, le procureur de la République, les élus et les services municipaux et communautaires, nous avons pu définir de nouveaux objectifs, articulant des moyens techniques (vidéosurveillance) à une présence renforcée de la police aux abords des établissements, conjuguée à des actions pédagogiques et éducatives visant à désamorcer la violence et démystifier la puissance des armes (exaltée notamment dans certains jeux vidéo). La Ville va apporter aussi son concours pour la mise en place d’un nouveau lieu d’accueil “hors les murs” pour des adolescents absentéistes, “décrocheurs” ou exclus de leurs établissements. C’est par ce travail en commun de tous les intervenants en charge des jeunes, chacun dans le champ de ses compétences et de ses responsabilités, que nous trouverons des réponses adaptées au plus près des réalités du terrain.
Des vélos à assistance électrique pour les facteurs
Toujours jaunes, mais plus pratiques, 80 nouveaux vélos à assistance électrique (VAE) viennent d’être livrés aux facteurs du Val-de-Marne. Huit d’entre eux ont été attribués à la plate-forme courrier de Créteil, qui en comptait déjà onze pour assurer la distribution. Ces nouveaux vélos bénéficient d’une assistance électrique au pédalage qui peut prendre en charge jusqu’à 100% de l’effort à fournir, grâce à un système d’accélération pouvant atteindre une vitesse avoisinant les 6 km/h. Cadre en alliage léger, abaissé pour faciliter la montée et la descente, porte-bagages avant, fixe et solidaire du cadre, sacoche intermédiaire, pneus plus résistants : ces nouveaux vélos ont été tout spécialement conçus pour faciliter le travail des agents de la Poste, et ils ne produisent pas de CO2 ! Actuellement, sur le département du Val-de-Marne, 20% des tournées sont effectuées avec ces deux-roues électriques.
Faites vos jeux….
C’est le samedi 13 février que s’est déroulée l’inauguration officielle de la Ludothèque du Palais. Rebaptisée Cristol’Ludo et réinstallée au bout de l’allée commerciale dans les anciens locaux de la Poste, la Ludothèque bénéficie désormais de 235 m2 flambant neufs dédiés aux jeux et aux jouets. Cinq mois de travaux ont été nécessaires pour aménager cet espace qui comprend trois grandes salles baignées de lumière. Désormais, les petits et les grands peuvent être accueillis en même temps. L’équipement compte plus de 2 000 jeux en stock, dont certains inédits, que l’on peut utiliser sur place ou emprunter.
L’aménagement de la Ludothèque et du local associatif contigu, le Forum Café, a coûté 692 287 €, dont les deux tiers ont été pris en charge par le Conseil régional d’Île-de-France (463 068 €).
Lieu d’éducation et d’animation, espace de loisirs et de rencontre pour les petits et les grands : plus de 200 familles fréquentent régulièrement la ludothèque depuis sa réouverture en septembre.
Renseignements au 01 42 07 58 54.
Les deux visages des Rencontres 2010
Parrainées par Marc Riboud, les troisièmes Rencontres photographiques de Créteil se sont déroulées du 6 au 20 février. Le forum d’ouverture, à la Maison des Arts a permis un échange sur le regard que porte le photographe sur notre monde et comment il peut transformer notre vision. Un marathon photographique ouvert à tous les Cristoliens, les 6 et 7 février, a eu pour thème : “Engagement et environnement”. Et pour que ce thème de l’engagement soit véritablement exprimé, deux séries d’expositions ont été mises en place : des expositions de photographes en résidence et celles de photographes invités. Autant d’images d’instants capturés et d’histoires de vies saisies au vol…
Créteil, 11e au Palmarès de l’accessibilité
L’hebdomadaire L’Express vient de publier son Palmarès 2010 de l’accessibilité. Avec une notation moyenne de 13,2, la Ville de Créteil y figure dans le peloton de tête, en 11e position sur 96. Réalisé avec le concours de l’Association
des Paralysés de France, ce classement, qui couvre les chefs-lieux des départements de l’Hexagone, évalue trois points essentiels : l’adaptation du cadre de vie, l’accessibilité des services publics et la politique locale mise en place en faveur des personnes handicapées. C’est la politique volontariste menée par la Municipalité qui a tout particulièrement été soulignée, valant à Créteil une excellente note dans ce domaine : 18 !
Une subvention exceptionnelle pour Haïti
Le tremblement de terre survenu le 12 janvier dernier à Haïti a fait d’innombrables victimes et détruit de très nombreux bâtiments, dont le Palais national et des hôpitaux de Port-au-Prince. L’ampleur de cette catastrophe a suscité un immense mouvement de solidarité dans lequel s’inscrit la municipalité de Créteil. Lors de sa séance du 29 janvier, le conseil municipal a décidé d’accorder une subvention exceptionnelle d’un montant de 30 000 € à la Fondation de France. Ces crédits ont été inscrits au budget primitif 2010, mais leur versement s’effectuera en urgence.
Adoptée cet été, la loi HPST (Hôpital, Patients, Santé, Territoires), dite loi Bachelot, dont le maître mot n’est plus la santé, mais la rentabilité, cale la gestion de l’hôpital sur celle de l’entreprise. Cette situation va s’aggraver encore, au détriment des patients et des personnels, avec la mise en place, sur tout le territoire francilien et notamment à Créteil, de Groupements de coopération sanitaire (GCS). Le point sur les conséquences en région parisienne et au niveau local.
Malgré une forte mobilisation en vue de son retrait (voir Vivre Ensemble n° 292 de mai 2009), la loi HPST (Hôpital, Patients, Santé, Territoires), plus communément appelée loi “Bachelot” du nom de son inspiratrice, a bien été votée le 21 juillet 2009. Redéfinition des missions du service public hospitalier avec la participation indifférenciée des cliniques privées, développement de la rémunération individualisée des praticiens hospitaliers, rentabilité de la gouvernance de l’hôpital remettant en cause la démocratie sociale et sanitaire… cette loi présente le risque majeur de dérive vers un hôpital “entreprise”, où la logique financière prendrait le pas sur la qualité des soins.
Conséquence logique de cette réforme hospitalière, des plans d’économies viennent d’être annoncés à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), premier employeur de la capitale. Ce projet de réorganisation des hôpitaux parisiens et franciliens passera par des “fusions” d’établissements (regroupement des 37 hôpitaux en 12 groupes de soins) et 90 à 100 millions d’euros d’économies par an, via des suppressions d’emplois (d’ici à deux ans, 3 000 à 4 000 postes supprimés sur un total de 92 000 (Chiffres confirmés par le directeur de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), Benoît Leclercq. La moitié environ concernera les soignants et les médecins, l’autre moitié le personnel administratif.)) afin de retrouver un équilibre budgétaire en 2012.
Face à ce dispositif et alors que le personnel soignant sonne l’alarme depuis des mois sur des conditions de travail intenables, les réactions se sont multipliées. Ainsi, le Mouvement de défense de l’hôpital public (MDHP), mené par des médecins des hôpitaux parisiens, écrivait récemment : “Ce n’est que le début des baisses d’effectifs.” Illustration aussi avec les directeurs d’hôpitaux et médecins qui ont déjà dû réduire leur recours aux CDD et à l’intérim, ces dernières années. Dans le même sens, de nombreux présidents de commissions médicales de l’AP-HP se sont ouvertement opposés à ce projet, menaçant de démissionner de leurs responsabilités administratives en cas de maintien du plan de suppressions des postes. Quant aux syndicats de personnels hospitaliers, ils ne décolèrent pas. Tandis que certains dénoncent la “destruction de la proximité de l’offre de soins”, d’autres critiquent “l’intensification du travail”.
Autre élément clé de ce projet de réforme, la création de Groupements de coopération sanitaire (GCS). Ainsi au niveau local, la loi Bachelot va se traduire, dans les mois à venir, par la constitution d’un GCS rassemblant le groupe hospitalier Albert-Chenevier–Henri-Mondor et le Centre hospitalier intercommunal de Créteil (Chic). Si la communauté hospitalière ne remet pas en cause la complémentarité accrue entre ces établissements de santé, elle voit, en revanche, d’un très mauvais œil, ce rapprochement dans un cadre juridique, basé, avant tout, sur la rentabilité financière. Baisse de la qualité de l’offre de soins et de la prise en charge des patients (avec notamment un allongement des délais pour obtenir une consultation ou une admission à l’hôpital), suppression massive d’emplois (plus de 200 postes ont été supprimés entre 2004 et 2009 sur le seul hôpital Henri-Mondor, alors même que les effectifs sont déjà insuffisants), mutualisation des personnels avec dégradation des conditions de travail (mobilité forcée, horaires variables, turn-over important)… Voilà, en effet, quelques-uns des effets induits par le regroupement de ces hôpitaux publics. Autant de conséquences que n’ont pas manqué de souligner les représentants du personnel de l’hôpital Henri-Mondor, lors de la visite de la ministre de la Santé et des Sports, Roselyne Bachelot, le 1er février dernier. A cette occasion, le député-maire de Créteil, Laurent Cathala a, quant à lui, soulevé les problématiques liées au devenir de l’AP-HP et à la remise en cause du statut des personnels.
Bien que le ministère de la Santé assure qu’une concertation sera organisée avant la validation définitive (Validation prévue en juin prochain.) des orientations stratégiques du projet, beaucoup se demandent déjà si cette loi ne porte pas en elle la disparition de la médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile.
Avec l’objectif “de poursuivre et renforcer le partenariat existant, de proposer une meilleure lisibilité de l’offre de soins, de rentabiliser les équipements sous-utilisés, de développer l’activité grâce à une synergie commune”, etc., le Groupement de coopération sanitaire se propose concrètement :
- de regrouper la filière de pneumologie incluant la chirurgie thoracique, la pneumologie et le SSR pneumologie,
- de regrouper l’anatomo-pathologie avec répartition des activités sur les deux sites,
- de regrouper les antennes de spécialités ORL, OPH, stomatologie, cardiologie,
- de regrouper et constituer une filière gériatrique unique sur le territoire,
- d’organiser de manière commune les activités de recherche,
- de regrouper les filières de maladies rares adultes-enfants, telle la drépanocytose.
Les questions de Laurent Cathala, député-maire de Créteil, à la ministre de la Santé
Les élus de Créteil ont assisté, le 1er février, à la visite de madame Roselyne Bachelot, ministre de la Santé et des Sports, au service d’accueil des Urgences de l’hôpital Henri-Mondor. Cette visite a été l’occasion d’une rencontre avec les représentants du personnel administratif et médical de l’hôpital qui se sont faits les porte-parole des préoccupations de la communauté hospitalière quant à la loi “Hôpital, Patients, Santé, Territoires”.
- Le devenir institutionnel de l’Assistance publique et les conditions du regroupement des différents hôpitaux dans la communauté hospitalière de territoire.
À Créteil, notamment, la constitution d’un Groupement de coopération sanitaire entre le Centre hospitalier intercommunal et l’hôpital Albert-Chenevier–Henri-Mondor.
- Les inquiétudes suscitées par le plan annoncé de l’Assistance publique, prévoyant de 3 000 à 4 000 suppressions d’emplois d’ici 2012.
- La remise en cause du statut des personnels, notamment en ce qui concerne les retraites des personnels infirmiers.
Les réponses de madame la ministre et du directeur général de l’Assistance publique ont été très générales, arguant simplement de l’augmentation des dépenses de santé.
Interrogés sur leur sentiment quant à la réforme de l’Hôpital, les syndicats CGT, CFDT, FO et SUD Santé des personnels soignants du CHU Henri-Mondor, qui dénoncent les suppressions de postes dans le cadre de la nouvelle loi et les regroupements hospitaliers, nous ont fait parvenir le texte suivant :
“Le gouvernement, pour atteindre l’objectif imposé par l’Europe de limiter à moins de 3% par an les dépenses de santé, restructure les hôpitaux publics en groupements hospitaliers dans le cadre de «territoires de santé» par le biais de la loi Hôpital, Patients, Santé, Territoires (HPST), dite loi «Bachelot». Mutualisation des moyens matériels et humains sont à l’ordre du jour avec toutes les conséquences associées à ces restructurations que sont les suppressions de structures hospitalières, les fermetures de services, les fusions d’activités… et, pour accompagner le tout, les suppressions de postes dans le cadre de véritables plans sociaux !
Au plan national, pour les seuls CHU (Centres hospitaliers universitaires), 25 000 suppressions de postes sont d’ores et déjà programmées d’ici 2012 ! A l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris), ce sont 1 150 emplois supprimés en 2010 et 4 350 d’ici 2015) !
Pour procéder à ces suppressions massives d’emplois, le gouvernement applique aux hôpitaux publics son principe dogmatique de non-remplacement des départs en retraite.
Ce sont 220 000 infirmiers, aides-soignants, assistantes sociales, agents hospitaliers, secrétaires médicales, techniciens de laboratoires, manipulateurs de radiologie, kinésithérapeutes, personnels administratifs… qui partent en retraite entre 2008 et 2015 !
Les hôpitaux sont saignés à blanc de leurs personnels au nom de la «performance» prônée par M. le ministre Éric Woert !
Avec la loi HPST, le gouvernement choisit donc de restreindre les moyens nécessaires au fonctionnement des hôpitaux publics, d’augmenter le forfait hospitalier, de multiplier les déremboursements, etc.
L’intersyndicale CGT, CFDT, FO, SUD de l’hôpital Henri-Mondor dénonce cette politique et constate tous les jours qu’il n’est pas possible de supprimer des postes en laissant croire que l’on va améliorer ou préserver la qualité des soins. Déjà aujourd’hui les établissements ne disposent pas des effectifs suffisants, déjà aujourd’hui les personnels payent durement la dégradation des conditions de travail et d’exercice professionnel, déjà aujourd’hui les usagers sont victimes de ce manque de moyens.
L’allongement des délais pour obtenir une consultation ou une admission à l’hôpital, pour une prise en charge aux Urgences en atteste. Les personnels sont au bout du rouleau et les mises en invalidité, les arrêts maladies… se multiplient. On pourrait ainsi allonger la liste.
Certaines des conséquences du regroupement des hôpitaux Albert-Chenevier, Henri-Mondor, Émile-Roux, Chic avec les hôpitaux Georges-Clémenceau, Joffre-Dupuytren (Essonne) sont déjà actées :
- Suppressions d’emplois : sur le seul hôpital Henri-Mondor, ce sont plus de 200 postes déjà supprimés entre 2004 et 2009. Combien encore en 2010 et d’ici 2015 ?!!
- Prise en charge des patients : dans un but de rentabilité, les patients seront plus rapidement dirigés vers les lits d’aval, si toutefois il en reste dans le secteur public. Il suffit de constater la fermeture de Georges-Clémenceau, de Joffre, la suppression de 68 lits à Dupuytren et d’une trentaine à Émile-Roux pour s’en convaincre. Là encore, un pan de notre activité tombera dans les mannes du secteur privé.
- Mutualisation des personnels sur l’ensemble des sites hospitaliers avec mobilité forcée, horaires variables, travail en 12 heures, turn-over très important avec désorganisation totale entre vie professionnelle et vie privée…
- Rapprochement accéléré entre nos hôpitaux AP-HP, le Chic, le CHIV et le CH sud francilien dans le cadre, notamment, de groupements de coopération sanitaire…
- Politique sociale dégradée : nombre de places en crèches et en centres de loisirs plus qu’insuffisant avec ouverture le week-end répartie sur les sites, formation professionnelle sacrifiée…
L’intersyndicale CGT, CFDT, FO, SUD de l’hôpital Henri-Mondor tire la sonnette d’alarme et en appelle à la population. Les personnels hospitaliers, toutes catégories confondues, sont totalement surmenés, stressés, démotivés par le fait de ne plus pouvoir soigner correctement les patients… Ils fuient l’hôpital public et des conditions de travail insupportables qui poussent certains à mettre leur vie en péril !
Et demain, quelle qualité des soins, quelle prise en charge des patients, quid de l’emploi de nos enfants… ?
C’est pourquoi, l’intersyndicale propose aux usagers et personnels soignants de s’unir afin de défendre ensemble l’hôpital public.”
Carrefour Pompadour, une route mieux partagée
Un nouveau chantier s’annonce à Créteil sur la nationale 6, sur une portion de 2,5 km, située entre le carrefour Pompadour et Valenton. C’est la première phase des travaux de requalification destinés à transformer la RN6 en un boulevard urbain, mieux intégré à son environnement. Un boulevard où l’espace, aujourd’hui dédié à l’automobile, sera mieux partagé avec les autres utilisateurs. Une modification de la géométrie des voies et un traitement des espaces permettront, en effet, d’intégrer un site propre pour les bus, une piste cyclable et un passage piéton sécurisé. Les voies de circulation automobile seront plus étroites (3 m au lieu de 3,5 m) permettant une réduction naturelle des vitesses pratiquées. Un couloir de bus à double sens sera aménagé pour simplifier l’accès et le retournement au carrefour Pompadour. La piste cyclable, actuellement située sur la rive ouest de la nationale, sera transférée de l’autre côté.
Les travaux de démolition du terre-plein central commenceront dès ce mois-ci. Le chantier sera organisé afin de préserver l’activité et de limiter les nuisances. Pour pénaliser le moins possible les usagers, deux voies de circulation seront maintenues dans chaque sens, aux heures de pointe du matin et du soir. L’accès aux commerces, de part et d’autre de la nationale, sera assuré en permanence durant les travaux. La desserte de bus restera inchangée et les arrêts seront maintenus. Le cheminement piéton le long de la nationale restera possible. Les travaux délicats seront réalisés de nuit : dix fermetures de la RN6 seront programmées entre le carrefour Pompadour et l’ouvrage TGV, entre 22h et 5h. Une déviation clairement fléchée sera alors mise en place.
Les travaux dureront huit mois, de mars à mi-juin, dans le sens Province-Paris, de mai à mi-août dans le sens Paris-Province et de juillet à début octobre pour la construction des îlots centraux. Le coût de cette première tranche est de 5 millions d’euros, financée par l’État (37,5%), la Région Île-de-France (37,5%) et le Département du Val-de-Marne (25%). Axe majeur du sud de Paris, la RN6 supporte un trafic de plus de 60 000 véhicules par jour, dont plus de 6% de poids lourds.
InfoChantier : une lettre d’information sera régulièrement publiée sur le site www.dirif.fr dans la rubrique des chantiers de la Dirif. Un formulaire d’inscription sera disponible sur ce site pour vous permettre de recevoir par mail les informations de trafic spécifiques à la RN6.
La Ville, par l’intermédiaire de son Office public de l’habitat (OPH), va racheter les 2 642 logements du Mont-Mesly et les 110 de Chéret qu’Icade a mis en vente à Créteil. Objectifs : reconventionner ces logements afin qu’ils réintègrent le secteur locatif social aidé, remettre en place une gestion de proximité, prendre en charge les rénovations urgentes, entretenir et améliorer les appartements et le cadre de vie des habitants, le tout sans augmenter les loyers.
Depuis l’annonce d’Icade de procéder à la vente de l’ensemble de son patrimoine immobilier en Île-de-France, et notamment les quelque 2 800 logements qu’elle possède à Créteil, la Municipalité a manifesté son indignation quant au procédé peu scrupuleux employé par un ancien bailleur social pour mettre en vente son patrimoine afin d’en tirer un profit maximum. Elle a également manifesté sa solidarité et sa préoccupation concernant le devenir de tout un quartier et des habitants qui y vivent.
Devant une situation qui n’a cessé de se dégrader ces dernières années sur le patrimoine d’Icade - situation publiquement dénoncée à plusieurs reprises par Laurent Cathala, député-maire - la Municipalité avait pris en charge le raccordement de ces immeubles au réseau de chauffage urbain de la ville ainsi que l’entretien des espaces verts. Elle avait ensuite entrepris de les intégrer aux grandes opérations de réhabilitation et de redynamisation urbaines. En 2009, sous l’impulsion de la Ville, l’Office public de l’habitat s’est porté acquéreur des 270 logements de la place de l’Abbaye et, avec l’aide de la Semic et de la Communauté d’agglomération Plaine centrale, a bouclé un dossier global pour la rénovation des bâtiments et la construction d’une médiathèque. Dans ce contexte, le rachat du reste du patrimoine d’Icade va permettre aujourd’hui d’envisager, en faveur des locataires de ces immeubles, un retour à une gestion de proximité qui n’aurait jamais dû faire défaut.
Dans un premier temps, c’est à la Semic qu’il appartenait de faire des propositions pour acquérir ce patrimoine. Mais, in fine, il s’est avéré plus intéressant que ce soit l’OPH de Créteil qui fasse le montage financier. En effet, si la Semic s’était portée acquéreur en tant que bailleur social, elle aurait bénéficié de prêts avantageux à longs termes, mais aurait dû, en revanche, s’acquitter de droits de
mutation pour près de sept millions d’euros. C’est pourquoi, c’est l’OPH de Créteil qui, exempté de frais de mutation, acquiert l’intégralité des logements vendus par Icade. Ainsi, les sept millions de frais de mutation économisés pourront être utilisés à la réhabilitation des logements.
Deux plans de financements distincts ont été établis pour ces acquisitions : si les logements du Mont-Mesly, en effet, ont déjà été conventionnés, ceux de Chéret ne l’ont jamais été. L’établissement d’une étude sur les loyers (prix au mètre carré de surface utile) a été nécessaire et a montré de grandes disparités d’une adresse à l’autre. Ces disparités sont importantes car elles conditionnent globalement le prix et le cadre des prêts qui seront consentis à l’OPH pour le rachat de ces logements. Sans entrer dans trop de détails, un classement par niveau moyen de loyer a été établi en tenant compte de deux critères importants : il n’y aura pas de hausse de loyers pour les locataires en place ; les augmentations de loyers des logements qui n’atteignent pas les plafonds actuels se feront uniquement lors des relocations. Enfin, les travaux lourds de réhabilitation, qui devront nécessairement être entrepris afin d’améliorer, entre autres, l’isolation thermique de ces bâtiments, seront engagés après étude approfondie et recherche d’aides financières spécifiques.
En tout état de cause, s’agissant du rachat des immeubles du Mont-Mesly, l’opération s’établit au prix moyen de 1 048 €/le mètre carré habitable (soit 59 976 € en moyenne par logement) pour un coût global de 158 457 000 €, dont 12 577 000 € de travaux de premières nécessités. De son côté, l’opération Chéret, n’ayant jamais été conventionnée, présente un montage différent de celui du Mont-Mesly. Celui-ci prévoit, notamment, le conventionnement des logements. Comme pour le Mont-Mesly, il n’y aura pas de hausse de loyers pour les locataires en place. Les augmentations de loyers des logements qui n’atteignent pas les plafonds se feront lors des relocations. Le coût global du rachat des logements du quartier Chéret s’élève à 9 404 000 € dont 658 000 € de travaux de premières nécessités. Cela donne un coût moyen de 1 517 € au mètre carré habitable, soit 85 494 € en moyenne par logement. Pour financer ces deux opérations, l’OPH de Créteil mobilisera plusieurs types de prêts locatifs à vocation sociale (PLS, PLUS, PLAI), sur des durées autour de 40 ans.
Les travaux de premières nécessités seront engagés à l’issue d’une étude approfondie de chaque immeuble. Les locataires seront informés des différentes phases d’interventions qui seront décidées par l’Office public de l’habitat. Par la suite, si d’autres travaux de réhabilitation lourde s’avèrent nécessaires, ils seront financés et engagés de manière spécifique.
Dans les années 1960, la SCIC (Société centrale immobilière de la Caisse des dépôts) est le plus gros bailleur social contrôlé par l’État. Filiale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), elle construit, avec des fonds publics (livret A de la Caisse d’épargne en grande partie), des milliers de logements sociaux pour des familles aux revenus moyens et modestes. A partir de 1983, pour réhabiliter son patrimoine, cette société a bénéficié d’importants crédits d’État et du soutien financier des collectivités locales. Par la suite, en 2000, la SCIC, devenue entre-temps Icade, entreprend le déconventionnement de tous ses logements. S’ensuivent des hausses quelquefois impressionnantes de loyers pour des logements qui, eux, vieillissent mal, faute de travaux d’entretien. En 2006, Icade est introduite en Bourse et la valeur de son patrimoine immobilier s’en trouve considérablement appréciée. Enfin, en décembre 2008, son directeur annonce la vente au plus offrant de l’ensemble de
son pôle logements.
Conclusion :
pour que ces logements restent dans le parc locatif social en évitant toutes les dérives spéculatives, c’est aux bailleurs sociaux qu’il appartient aujourd’hui de racheter ce patrimoine pourtant déjà financé une première fois, il y a une quarantaine d’années, par des fonds publics !
Créteil 3
- bâtiment 01 : 30 à 44, rue du Porte-Dîner, 80 logements
- bâtiment 02 : 1 à 9, rue Madeleine-Pingot, 50 logements
- bâtiment 51 : 1 à 9, impasse Blanchard, 49 logements
- bâtiment 52 : 1 à 11, rue Henri-Martret, 59 logements
- bâtiment 60 : 59 à 65, avenue du Dr-Paul-Casalis, 40 logements
- bâtiment 61 : 2 à 8, impasse des Monteilleux, 40 logements
- bâtiment 62 : 2 à 8, impasse des Plantes, 40 logements
- bâtiment 65 : 1 à 5, rue Berthold-Mahn, 30 logements
- bâtiment 66 : 1 à 9, rue du Docteur-Métivet, 50 logements
- bâtiment 67 : 39 à 57, avenue du Dr-Paul-Casalis, 50 logements
- bâtiment 82 : 3 à 6 place du Petit-Bois , 40 logements
- bâtiment 83 : 1 à 3 place du Petit-Bois, 18 logements
- bâtiment 85 : 2 à 10, rue du Docteur-Métivet, 80 logements
- bâtiment 86 : 2 à 6, impasse Charles-Vildrac, 54 logements
Créteil 4
- bâtiment 51 : 1, rue Édouard-Vuillard, 52 logements
- bâtiment 53 : 3 à 7, rue Édouard-Vuillard, 30 logements
- bâtiment 57 : 1 à 7, allée de la Côte-d'Or, 40 logements
- bâtiment 58 : 1 à 7, rue de La Plumerette, 40 logements
- bâtiment 59 : 2 à 8, allée des Guiblets, 37 logements
- bâtiment 60 : 2 à 8, rue des Caillotins, 40 logements
- bâtiment 61 : 9, rue de La Plumerette, 62 logements
- bâtiment 62 : 112- 114, rue Juliette-Savar, 16 logements
- bâtiment 63 : 2-4, rue Guynemer, 16 logements
- bâtiment 65 : 1-3,rue Albert-Thomas, 16 logements
- bâtiment 66 : 2 à 6, rue Paul-Codos, 30 logements
- bâtiment 67 : 11 à 15, rue de La Plumerette, 30 logements
- bâtiment 68 : 1 à 11, rue Paul-Codos, 60 logements
- bâtiment 84 : 8 et 20, allée du Commerce, 28 logements
- bâtiment 85 : 3, rue Jean-Mermoz, 52 logements
Créteil 5-6-7
- bâtiment 01 : 10, rue Pierre-Lescot, 73 logements
- bâtiment 02 : 8, rue Pierre-Lescot, 74 logements
- bâtiment 03 : 7, rue Claude-Perrault, 74 logements
- bâtiment 04 : 9, rue Claude-Perrault, 74 logements
- bâtiment 05 : 2 à 14, rue Robert-Delaunay, 70 logements
- bâtiment 06 : 1 à 9, impasse Fernand-Léger, 50 logements
- bâtiment 07 : 4, rue Aristide-Maillol, 43 logements
- bâtiment 08 : 37-39, bd John-Kennedy, 20 logements
- bâtiment 09 : 29 à 35, bd John-Kennedy, 64 logements
- bâtiment 10 : 2 à 6, rue J.-A.-Falguière, 30 logements
- bâtiment 11 : 2-4, impasse François-Rude, 20 logements
- bâtiment 12 : 19 à 23, rue Emmanuel-Chabrier , 30 logements
- bâtiment 13 : 46-48, bd John-Kennedy, 20 logements
- bâtiment 14 : 2, rue Maurice-Ravel, 43 logements
- bâtiment 15 : 2, rue Claude-Debussy, 43 logements
- bâtiment 16 : 2, rue Jules-Massenet, 43 logements
- bâtiment 17 : 1, rue Gustave-Charpentier, 43 logements
- bâtiment 20 : 83 à 89, av. du Dr-Paul-Casalis, 32 logements
- bâtiment 21 : 70 à 74, av. du Dr-Paul-Casalis, 31 logements
- bâtiment 22 : 11, bd John-Kennedy, 64 logements
- bâtiment 23 : 2 à 6, rue Paul-Cézanne, 30 logements
- bâtiment 24 : 84 à 90, av. du Dr-Paul-Casalis, 32 logements
- bâtiment 25 : 96, rue Juliette-Savar, 43 logements
- bâtiment 26 : 94, rue Juliette-Savar, 43 logements
- bâtiment 27 : 92, rue Juliette-Savar, 42 logements
- bâtiment 28 : 8, rue Edouard-Manet, 43 logements
- bâtiment 29 : 1, rue Georges-Seurat, 43 logements
- bâtiment 30 : 11, rue du Docteur-Pinel, 43 logements
- bâtiment 31 : 15, rue du Docteur-Pinel , 43 logements
Créteil Cochets
- bâtiment 01 : 2, rue César-Franc, 28 logements
- bâtiment 05 : 2, rue Vincent-d'Indy, 30 logements
- bâtiment 06 : 4, rue Vincent-d'Indy, 30 logements
- bâtiment 08 : 7 à 11, rue Louis-Blériot, 22 logements
Total : 2 642 logements
Les immeubles concernés à Chéret
- bâtiment 11 : 114 à 118, impasse Chéret, 30 logements
- bâtiment 12 : 104 à 112, impasse Chéret, 50 logements
- bâtiment 13 : 98 à 102, impasse Chéret, 30 logements
Total : 110 logements
Cette année encore, les forces vives des bords de Marne se mobiliseront, le samedi 17 avril, pour un grand nettoyage du Bras-du-Chapitre.
Pour cette deuxième édition de “Nettoyons le Bras-du-Chapitre”, tout le monde est convoqué sur le pont, le samedi 17 avril prochain ! On pourra compter sur les
pêcheurs de la Goujonnette de Créteil, les adhérents de l’Association pour la Sauvegarde du Bras-du-Chapitre et de ses abords, les sportifs de l’US Créteil Canoë-Kayak, les services de la mairie (Parcs et Jardins, services techniques…) et le comité de quartier des Bords-de-Marne. Comme l’an passé, des hommes-grenouilles s’occuperont du fond de l’eau, des personnes en bateau ramasseront les objets flottants tandis que d’autres équipes interviendront sur les berges. Vous êtes tous conviés, riverains, mais aussi promeneurs d’un jour, à participer en famille au nettoyage de ce site privilégié que nous souhaitons tous préserver. Si vous êtes sensible à la sauvegarde de l’environnement, voilà une occasion d’agir. Rendez-vous le samedi 17 avril à 9h en bas du square Julien, sur le Bras-du-Chapitre.
Succès pour la galette
Le vendredi 22 janvier dernier, le comité de quartier invitait les habitants à tirer les Rois autour de savoureuses galettes, accompagnées de chocolat chaud et de cidre… et des tours du magicien Gilbert Bembaron. Une rencontre très réussie puisque plus de 80 jeunes accompagnés de leurs parents ont répondu à l’invitation dans la joie et la bonne humeur.
Le comité de l’Ormetteau-Port organise son grand carnaval le samedi 13 mars. Tous les participants (déguisés bien sûr) sont invités à se rassembler à 16h devant le local du comité, allée Pierre-d’Olivet. Des musiciens seront aussi de la partie. Un atelier créatif de maquillage et de création de masques sera ouvert le mercredi 10 mars à partir de 18h, allée Pierre-d’Olivet. Tous les habitants du quartier, petits et grands, sont conviés à la fête.
Brocante en avril
Ne jetez plus vos objets ! Donnez leur une seconde vie en les proposant à la quatrième édition de la brocante vide-placard organisée par le comité de quartier, le samedi 10 avril de 10h à 18h, place des Bouleaux. L’inscription pour les stands se fera le vendredi 26 mars, de 18h à 19h30, et le samedi 27 mars, de 10h à 12h, à la MPT des Bleuets, 5, rue Armand-Guillaumin. Pensez à vous munir d’une pièce d’identité et de 7 €.
Crêpes-partie
La crêpes-partie organisée tous les ans par le comité des Buttes-Halage est en passe de devenir un rendez-vous incontournable. Cette année encore, il y avait foule au LCR, rue de Bonne. “Pas de doute, quand elle bien reçue, la jeunesse ne refuse pas les échanges avec les anciens”, témoigne un des organisateurs. Effectivement, un groupe de lycéens, se souvenant de la chaleur de l’accueil et de la saveur des crêpes, sont revenus, accompagnés de leurs correspondants allemands d’un lycée de Bavière. D’autres, un peu plus âgés, sont devenus des “habitués”, amenant un ou plusieurs de leurs amis. Sans oublier les tout-petits accompagnant grands frères, parents ou grand-parents. Une vraie réussite pour cette rencontre savoureuse qui prend chaque année un peu plus d’importance.
Attention, talents…
Comme tous les ans, le comité des Buttes-Halage organise une exposition (réservée exclusivement aux peintres et sculpteurs du quartier et du secteur Nord) au LCR, rue de Bonne. Cette année, la manifestation se tiendra le samedi 27 mars, de 14h à 18h, et le dimanche 28 mars, de 10h à 18h.
Soutien à Haïti
Avec le soutien des comités du secteur Sud, la Chaîne de l’Espoir organise une soirée dédiée à Haïti, le samedi 27 mars au centre Rebérioux, au cours de laquelle elle présentera ses actions en Haïti.La soirée débutera, à 19h30, en chansons, avec Christiane Bélert, suivie à 20h30 par Toninho Ramos pour un concert de guitare. La participation minimum est de 15 €, 10 €pour les adhérents du centre Rebérioux et de La Cigale. Informations et réservations auprès du secrétariat de FrançoiseAndreau (01 49 80 92 94)ou des référents de l’association, Janick Renaud et Alain Tempel (01 43 39 51 67).
Nouvelles activités
“Autour de l’amitié” est une initiative lancée par des jeunes femmes de la Croix-des-Mèches : Sylvie, Karine, Nassera et Sandrine. Elles proposent aux familles, accompagnées de leurs enfants (à partir de 3 ans), des activités ludiques avec goûter (pâtisseries maison, café, jus de fruits…), les mardi et vendredi, de 16h30 à 18h30, au Club de Créteil. Le mercredi 17 mars, de 14h30 à 17h30, toujours au Club, elles animeront une kermesse avec pêche à la ligne, chamboule-tout et autres jeux… Il y aura des lots à gagner ! L’entrée est libre.
A noter que, chaque mois désormais, le comité de quartier organisera une animation de ce type.
Contact : Karine au 06 33 85 17 15.
Montaigut
Le mardi 9 mars à 20h30, au CACM, plateau d’évolution Molière.
Bas du Mont-Mesly
Le mardi 23 mars à 20h30, au centre social Kennedy,
36, boulevard Kennedy.
Brèche-Préfecture
Le jeudi 25 mars à 20h30, à la Maison des Associations,
1, rue François-Mauriac.
Front-de-Lac
Le jeudi 1er avril à 20h30, à l’hôtel de ville, salle des commissions.
Brèche-Préfecture
Le samedi 13 mars. Rendez-vous à 9h devant la Maison des Associations.
Ormetteau-Port
Le samedi 27 mars. Rendez-vous à 10h au local du comité de quartier,
allée Pierre-d’Olivet.
Louise Oligny : “Le Mont-Mesly est un quartier chaleureux”
A l’occasion des Rencontres photographiques de Créteil, quatre photographes sont restés en résidence dans la ville pendant plusieurs mois pour saisir au plus près la vie des quartiers. Parmi eux, Louise Oligny, basée à la Maison de la Solidarité dans le Haut du Mont-Mesly.
Comment avez-vous été contactée ?
Louise Oligny : Dans le cadre des Rencontres photographiques organisées par la MJC Village en partenariat avec la Ville. L’idée de ces Rencontres, c’est de montrer comment un photographe peut avoir, grâce à son engagement, une influence sur le monde qui l’entoure. On travaille sur l’environnement social pour le montrer et parfois pour le dénoncer.
Où étiez-vous en résidence ?
L. O. : J’étais à la Maison de la Solidarité, et je voulais surtout travailler sur les femmes. Mais j’ai découvert un quartier très sympa avec une vraie vie populaire et beaucoup d’associations qui la nourrissent. J’ai donc orienté mon travail vers des portraits d’habitants du quartier. Ils étaient fiers de me montrer leur quartier, de me faire participer aux fêtes, à la vie des associations.
Combien de temps avez-vous passé au Mont-Mesly ?
L. O. : De novembre à janvier, le temps de trouver exactement mon sujet. J’ai été très bien reçue. Le fait d’être en résidence à la Maison de la Solidarité m’a ouvert des portes. Les gens étaient accueillants. C’était à la fois étonnant et plaisant.
Quels souvenirs en gardez-vous ?
L. O. : Le travail des bénévoles des associations, leur volonté pour rendre possibles beaucoup d'actions. Le résultat, c'est cette chaleur qui se dégage du quartier. J'aime aussi la mixité du Mont-Mesly, le maillage extraordinaire qui fait que ceux qui ont besoin de quelque chose peuvent compter sur des personnes et sur des associations comme Femmes de Tous Pays ou encore l'Église Saint-Michel. Dans ce quartier, personne ne s'enferme, au contraire, tout le monde est curieux de découverte et d'ouverture. J'ai rencontré des personnes qui auraient pu quitter le quartier depuis longtemps, mais qui n'en ont pas envie, qui y sont attachés. Il y a une mixité culturelle, mais aussi sociale. Les habitants aiment avoir des voisins différents d'eux et qui leur apportent une autre vision du monde.
Plus de renseignements
http://www.photographes-engages.org/
http://photographesengagescreteil.blogspot.com/2009/12/photographes-en-residence_9854.html
Pour la troisième année consécutive, rendez-vous à l’hôtel de ville pour la Quinzaine du développement durable, du 29 mars au 9 avril. Au programme : expositions sur le réchauffement climatique, information sur le tri et les déchets, mini-ateliers pour les scolaires, mais aussi conseils gratuits pour les travaux d’économie d’énergie !
Qu’est-ce que le réchauffement climatique ? Qu’est-ce que l’effet de serre ? Comment faire des économies d’énergie au quotidien ? Toutes ces questions trouveront leurs réponses lors de la Quinzaine du développement durable qui se déroulera du lundi 29 mars au vendredi 9 avril. Avec une nouveauté, cette année : la manifestation sera ouverte à l’ensemble des habitants de Plaine centrale. En même temps que les Cristoliens, les Alfortvillais et les Brévannais pourront, eux aussi, découvrir les expositions sur le changement climatique et les actions menées par la Communauté d’agglomération.
A Créteil, c’est à l’hôtel de ville que se tiendront expositions et animations. Les Messagers du tri de Plaine centrale seront présents pour informer les visiteurs sur l’importance de trier les déchets. Vous pourrez les rencontrer et poser toutes les questions pour améliorer vos gestes quotidiens. Des guides sur le tri et sur la prévention des déchets seront remis à chacun. Vous pourrez aussi découvrir le court métrage réalisé par les jeunes du Club de loisirs pour adolescents (Clap), La planète tombe à l’eau, qui montre de manière humoristique les gestes à faire… et à ne pas faire ! Comme les années précédentes, une animation spécifique sera réservée aux classes de CE2 et CM1 (sur inscriptions préalables), aux centres de loisirs maternels et élémentaires et au conseil municipal d’enfants. Enfin, les aînés des clubs 3e Âge seront invités à découvrir comment, à travers des petits gestes, ils peuvent réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Cette Quinzaine donnera lieu aussi à plusieurs animations dans des équipements de Créteil : cinéma, jeux et ateliers sont au programme aux Cinémas du Palais, à la Cristol’Ludo et dans les bibliothèques (voir encadré). De quoi sensibiliser petits et grands au développement durable et à ses enjeux pour la planète.
Expositions à l’hôtel de ville du lundi 29 mars après-midi au vendredi 9 avril.
Visite libre et gratuite de 9h à (ouverture exceptionnelle jusqu’à 19h les mardi 30 mars et jeudi 8 avril).
Pour tout renseignement, contactez la direction du Développement durable au 01 58 43 38 50.
A l’occasion de la Quinzaine du développement durable, venez profiter des conseils personnalisés et gratuits d’un conseiller Info-Énergie, qui vous aidera à définir les travaux convenant le mieux à votre habitat et vous indiquera les aides financières possibles.
Permanences à l’hôtel de ville les mardi 30 mars et jeudi
8 avril de 16h30 à 19h.
Renseignements ou rendez-vous au 01 46 63 09 94, eie.labouilloire@yahoo.fr
Le mercredi 31 mars à 20h, les Cinémas du Palais, en partenariat avec l’association Nature et Société, proposent un documentaire, Le Temps des Grâces, de Dominique Marchais, qui offre un regard engagé sur l’agriculture française et le rôle des paysans aujourd’hui en France. Entrée : 5 €. Renseignements : www.lepalais.com
Les mercredis 31 mars, samedi 3 avril, mercredi 7 avril et samedi 10 avril, Cristol’Ludo, la Ludothèque du Palais, accueillera petits et grands autour de jeux du développement durable de 14h à 18h30 et jusqu’à 19h30 pour le 31 mars.
Renseignements : 01 42 07 58 54, cristol.ludo@orange.fr
Le printemps pointe son nez dans les rayonnages des bibliothèques : des activités sont proposées par les bibliothécaires “aux mains vertes” autour de la nature, des jardins et du potager, pour une sensibilisation au développement durable. Des illustrations de l’imagier Au jardin de Katy Couprie et Antonin Louchard seront également présentées.
À partir de 5 ans, tous les mercredis, du 10 mars au 14 avril, entre 15h et 16h, à la bibliothèque de la Croix-des-Mèches (01 42 07 53 18) et à la bibliothèque Village (01 42 07 04 07). Réservations conseillées auprès des bibliothèques.
Bibliothèque de la Croix-des-Mèches (01 42 07 53 18) et à la bibliothèque Village (01 42 07 04 07). Réservations conseillées auprès des bibliothèques.
Am Stram Gram…
“Am Stram Gram…”, la nouvelle programmation des bibliothécaires, initie les jeunes Cristoliens à la lecture d’images.
Les bibliothécaires proposent un nouveau rendez-vous annuel : “Am Stram Gram : histoires de jeunesse”, avec tout un programme d’animations en direction du jeune public, dans les trois villes de Plaine centrale. Pour cette première édition, du 8 mars au 17 avril, c’est l’illustration et la lecture d’images qui sont à l’honneur à Créteil. Au choix : quatre expositions, des ateliers, des lectures, un conte, des spectacles et une rencontre au fil des pages.
Réalisation d’un abécédaire
Utilisation de différentes techniques d’illustrations (à partir de 7 ans et sur réservation).
- Mercredis 17 et 31 mars, samedi 27 de 14h à 16h [Biblimesly]
- Mercredis 31 mars et 7 avril de 10h à 12h [bibliothèque de La Habette]
Lectures d’albums animées par Raphaël Hornung.
- Mercredi 17 mars à 15h : Le Grand livre du hasard d’Hervé Tullet. Pour les 3-6 ans [Biblibleuets]
- Mercredi 31 mars à 13h30 [bibliothèque de La Habette] et à 15h30 [bibliothèque-discothèque de la Maison des Arts] : les albums d’Emmanuelle Houdart.
Ciné-contes : “Sorcières, monstres et Cie”
Un programme de courts métrages où les monstres sont à l’honneur, le samedi 27 mars à 14h30 [Cinémas du Palais] (à partir de 5 ans).
- Conte : Ferme ton bec ! avec Pierre Delye
Prom’nons nous dans les bois…
Et si, pour une fois, nous allions faire un tour au poulailler ? Mercredi 24 mars à 15h [Biblimesly]
(à partir de 5 ans, sur réservation).
- Spectacle musical :
Le Poisson plume
Chansons avec le trio Pierre-Jean Zantman, guitare et voix, Francis Jauvain, accordéon et saxophone baryton, Patrice Larose, guitares.
Un voyage au pays de la Polésie, pays sans frontières, où l’on se retrouve dès que l’on rêve très fort.
Mercredi 14 avril à 16h [bibliothèque-discothèque de la Maison des Arts]
(à partir de 6 ans, sur réservation).
Balade autour des livres pour enfants
Avec Lucette Savier, formatrice et directrice éditoriale chez Albin Michel. Présentation de livres simples ou étonnants, à partager en famille, pour un moment de rencontre et de promenade au fil des pages.
Samedi 10 avril à 16h [bibliothèque Village, réservation conseillée].
Du 9 mars au 11 avril, quatre expositions composées d’originaux d’auteurs-illustrateurs pour la jeunesse, d’une grande richesse artistique et technique. Visite aux heures d’ouverture au public et sur rendez-vous pour les scolaires.
- Le Grand Livre du hasard
Une invitation à jouer avec les couleurs, les formes, les signes et les lettres, à partir de l’album d’Hervé Tullet.
[Biblibleuets]
- Au Jardin
Un nouvel imagier autour du jardin de Katy Couprie et Antonin Louchard où les illustrations sont reliées les unes aux autres (selon le principe du “marabout-bout-de-ficelle-selle-de cheval”…) par le sens ou la forme.
[bibliothèque de la Croix-des-Mèches et bibliothèque Village]
- L’Abécédaire de la colère
Un alphabet illustré d’Emmanuelle Houdart où la colère se décline en rouge, noir et blanc dans de somptueux dessins.
[Biblimesly et bibliothèque de La Habette]
- Monstres malades
Les monstres peuvent aussi tomber malades : ici, le fantôme souffre de somnambulisme et le squelette a un ver solitaire… Drôle et poétique à la fois, une création d’Emmanuelle Houdart.
[bibliothèque-discothèque de la Maison des Arts]
Tous renseignements sur la programmation au 01 42 07 52 52.
www.agglo-plainecentrale94.fr (rubrique Médiathèques)
Douze ans après avoir accueilli les réalisatrices africaines, le Festival international de films de femmes renoue avec le continent africain pour sa 32e édition, qui se tiendra du 2 au 11 avril à la Maison des Arts. Le public retrouvera aussi les sections qui font l’identité du festival depuis plus de trente ans : Compétition internationale, Autoportrait, Graine de Cinéphage, soirées avant-premières, section thématique.
Depuis sa création, le Festival international de films de femmes de Créteil accueille des réalisatrices du monde entier. Chaque édition est l’occasion de découvrir quelque 150 films qui défendent avec talent le regard des femmes sur leur société. Lieu témoin de débats historiques, le Festival reste attentif aux engagements artistiques, politiques et sociaux des femmes dans le monde, à travers leur cinéma. Ainsi cette année, l’un des temps forts de cette nouvelle édition, sera la “Nuit blanche” consacrée aux 40 ans du Mouvement de libération des femmes avec un programme réalisé en partenariat avec l’Institut national de l’audiovisuel (Ina). Partenariat qui va se prolonger, puisque toutes les archives du Festival vont désormais être numérisées par l’Ina et archivées au pôle audiovisuel de la Bibliothèque nationale de France (BnF) à Paris. En 1998, le Festival organisait la première rétrospective de réalisatrices africaines. Douze ans plus tard, il renoue avec des réalisatrices confirmées et soutient les jeunes talents pour un voyage “Trans-Europe-Afrique” à travers 25 pays du continent. Evénement cette année, la chanteuse d’origine malienne, Rokia Traoré, ouvrira en musique le festival le vendredi 2 avril dans la grande salle de la Maison des Arts avec un concert alliant modernité et tradition, tandis que, dans la petite salle, les festivaliers pourront découvrir les membres du Grand Jury durant la soirée d’ouverture et assister à la projection du film de Julia Solomonoff, El Ultimo Verano de la Boyita (Le Dernier Été de la Boyita). Puis démarrera la compétition officielle composée de 50 films inédits venus de tous les continents. Longs métrages de fiction, documentaires, courts métrages, tous concourent pour les différents prix remis par le Grand Jury (longs métrages de fiction), le jury Anna-Politkovskaïa (documentaires), le jury Graine de Cinéphage (films jeune public)… La soirée de clôture du samedi 10 avril sera l’occasion de revoir le long métrage primé en présence des membres des différents jurys, et des réalisatrices invitées.
Quatre débats reprendront les grands thèmes abordés durant le Festival : les 40 ans du MLF, la situation du cinéma africain, le sida et la liberté de la presse.
En 1998, le Festival proposait, en première mondiale, une rétrospective de films des réalisatrices et actrices africaines ; une constellation placée sous l’aile protectrice de la Sénégalaise Safi Faye, première documentariste du continent. Douze ans plus tard, c’est à un autre voyage inédit que le Festival nous convie avec Trans-Europe-Afrique. Un voyage dans le cinéma africain des femmes qui, à travers une programmation riche de près de 80 films, se caractérise par une grande diversité des sujets traités : la mémoire, le sida, la lutte politique et l’émancipation des femmes, les flux migratoires, la liberté de la presse, la jeunesse, le cinéma d’avant-garde. Parmi la quarantaine de longs métrages présentés dans cette section, on retiendra le documentaire Taking Root: The Vision of Wangari Maathai de Lisa Merton et Alan Dater retraçant l’histoire de la lauréate du Prix Nobel de la Paix en 2004, Wangari Maathai, qui a transformé une association de femmes regroupées pour planter des arbres en mouvement politique d’ampleur nationale. Wangari Maathai devrait être présente durant le festival (sous réserve).
Rokia Traoré
Riche de quatre albums et d’une Victoire de la musique 2009, la plus aventureuse des chanteuses et compositrices africaines définit son style musical comme “plus moderne, tout en restant africain, quelque chose qui rompt avec le folk pour aller vers plus de blues et de rock”. Cette fille de diplomate malien, qui a passé sa vie entre les États-Unis, l’Europe et le Moyen-Orient, a commencé dans un groupe de rap avant d’aller se ressourcer dans son pays d’origine pour mettre en forme cette musique qu’elle sentait confusément en elle, “quelque chose de très contemporain interprété par des instruments traditionnels”. Son groove puissant, sensuel et langoureux a su conquérir le public par-delà les frontières. Chantant en anglais, en français et surtout en bambara, l’une des langues les plus parlées au Mali, Rokia Traoré séduit par l’éclat et la fraîcheur de son univers.
Sotigui Kouyaté et Aïssa Maïga
Pour la première fois, le Festival invite une actrice et un acteur pour un regard croisé. Sotigui Kouyaté et Aïssa Maïga créeront un espace de dialogue filmique à partir d’œuvres de leurs filmographies respectives : Sia, le Rêve du python de Dani Kouyaté et Quand la ville mord de Dominique Cabrera.
Acteur de théâtre et de cinéma malien, né en 1936, Sotigui Kouyaté, qui vit désormais en France, a travaillé notamment avec Peter Brook au théâtre (Mahabharata, La Tempête) et tourné au cinéma sous la direction d’Amos Gitaï (Golem, L’Esprit de l’exil), de Patrick Grandperret (Le Maître des éléphants) ou encore de Stephen Frears (Dirty Pretty Things). Il était dernièrement à l’affiche de London River de Rachid Bouchareb.
Née en 1975 au Sénégal, Aïssa Maïga a suivi ses parents à Paris à l’âge de 4 ans. Son premier long métrage, Saraka Bô de Denis Amar, la propulse sur le devant de la scène en 1996. Depuis, outre sa carrière de comédienne, elle s’est lancée dans l’écriture cinématographique et la réalisation.
40 ans du Mouvement de libération des femmes
Le 26 août 1970, portant une banderole proclamant : “Il y a plus inconnu que le Soldat inconnu : sa femme”, des féministes françaises tentaient de déposer une gerbe sous l’Arc de triomphe. Cette année, le Festival affirme son héritage et collabore, aux côtés du collectif “40 ans du Mouvement de libération des femmes”, aux différents événements qui célébreront cette date symbolique. En partenariat avec l’Ina, le Festival propose un retour sur les années qui ont précédé la révolution féministe avec un programme sur les femmes à la télévision dans les années 1940/60/70. D’autres films seront aussi projetés, comme Eût-elle été criminelle… de Jean-Gabriel Périot, une interrogation personnelle et touchante sur les femmes tondues en France à la Libération, ainsi qu’une programmation spéciale Turquie.
Paroles de femmes d’hier et d’aujourd’hui
Des artistes femmes parlent de leur art à la télévision : projection d’archives de l’Ina avec Niki de Saint-Phalle, Germaine Krull, Sonia Delaunay, Gisèle Freund, Orlan, Yoko Ono… Suivra un débat avec l’artiste média, réalisatrice et “machineuse” Régine Cirotteau, et la projection de trois de ses films : Pathfinder, Let There Be Light et Too Many Secrets.
La section “Tous les garçons et les filles” est, durant le Festival, l’observatoire de l’adolescence. Programmée au cinéma La Lucarne, elle rend hommage au travail de jeunes réalisatrices françaises qui, dès leur premier ou second film, tiennent le cap d’une singularité par des films très personnels. On pourra ainsi découvrir ou revoir les œuvres de Léa Fhener (Qu’un seul tienne et les autres suivront) ; Éléonore Faucher (Brodeuse, Gamines) et Mia Hansen-Love (Tout est pardonné, Le Père de mes enfants). La Lucarne propose également le film de la réalisatrice anglaise Andrea Arnold, Fish Tank, et le nouveau film du couple de cinéastes Walter Salles et Daniela Thomas, Une famille brésilienne.
Cinéma La Lucarne, MJC du Mont-Mesly, 100, rue Juliette-Savar, tél. : 01 45 13 17 00.
Les Cinémas du Palais projetteront, en avant-première, quatre films français : Les Arrivants de Claudine Bories et Patrice Chagnard (film qui sera suivi d’une soirée-débat le jeudi 8 avril en présence de la réalisatrice) ; White Material de Claire Denis ; La Reine des pommes de Valérie Donzelli et Chaque jour est une fête de Dima El-Horr.
Cinémas du Palais-Armand Badeyan, 40, allée Parmentier, tél. : 01 42 07 60 98. Internet : www.lepalais.com
Comme chaque année, le Festival invite collégiens et lycéens à venir décerner un prix au meilleur long métrage de fiction parmi une sélection de cinq films à destination du jeune public. Des ateliers seront mis en place sur le thème “Découverte des métiers du cinéma et de l’audiovisuel” : le mardi 6 avril (visite à l’Institut national de l’audiovisuel et atelier sur les archives) ; le jeudi 8 avril (écriture de scénario) ; le vendredi 9 avril (réalisation d’un film d’animation en Patamod).
Vendredi 2 avril
20h30 Concert de Rokia Traoré [grande salle].
21h Soirée d’ouverture de la compétition
[petite salle] avec la projection du film
El Ultimo Verano de la Boyita de Julia Solomonoff, en présence du Grand Jury.
Samedi 3 avril
Inauguration de la section Trans-Europe-Afrique en présence des réalisatrices africaines invitées.
14h Carte blanche à la Cinémathèque Afrique
de CulturesFrance : trois courts métrages de jeunes réalisatrices.
21h Projection de Lettre paysanne de Safi Faye
(Sénégal, 1975) en version restaurée et sous-titrée par la Cinémathèque Afrique de CulturesFrance.
Dimanche 4 avril
Autoportraits
15h Autoportrait de Sotigui Kouyaté avec Sia, le Rêve du python de Dani Kouyaté.
21h Autoportrait d’Aïssa Maïga avec Quand la ville mord de Dominique Cabrera précédé du court métrage Paris, je t’aime.
Lundi 5 avril
Ouverture du prix Anna-Politkovskaïa qui récompense les documentaires de la compétition.
16h30 Projection de Résistants du 9e art de Nicoletta Fagiolo (Afrique du Sud, 2008).
Avec la participation de Reporters sans Frontières.
Mardi 6 avril
“Out in Africa”, carte blanche au Festival Gay et Lesbien en Afrique du Sud.
21h Projection de Dykeumentary d’Adelheid Reinecke et Jacques Oldfield et de Enraged by a picture de Zanele Muholi.
Mercredi 7 avril
Soirée Arte
19h Projection en avant-première de A deux c’est plus facile d’Émilie Deleuze (France, 2009).
Soirée contre le sida
21h Projection de Silence = mortes, dix films de réalisatrices pour les 20 ans d’Act Up, suivie de Memory Books de Christa Graf (Allemagne/Ouganda, 2007).
Jeudi 8 avril
À la frontière des genres
21h Projection des archives de l’Ina où des artistes femmes parlent de leur art à la télévision. Suivie de trois films de Régine Cirotteau et d’un débat.
Vendredi 9 avril
Nuit blanche
19h 40 ans du Mouvement de libération des femmes.
En partenariat avec l’Ina.
Samedi 10 avril
21h Soirée de clôture du Festival avec la projection du film primé.
Renseignements et billetterie
Maison des Arts, place Salvador-Allende
Tél. : 01 49 80 38 98
Mail : filmsfemmes@wanadoo.fr
Site Internet : www.filmsdefemmes.com
La renouée du Japon, la jussie… sous ces noms charmants se cachent deux pestes végétales auxquelles les Parcs et Jardins ont déclaré la guerre.
On les appelle les plantes invasives : alors que personne ne les a semées, ces espèces exotiques introduites accidentellement se comportent en véritables envahisseurs. Elles prolifèrent rapidement en développant d’immenses rhizomes, elles appauvrissent les sols, se développent en tous sens ne laissant aucune chance de survie aux plantes avoisinantes.
“Ces plantes sont une véritable menace pour la biodiversité, explique Raoul Petit du service des Parcs et Jardins, car elles entrent en concurrence avec les plantes indigènes. Elles émettent des phytotoxines dans le sol qui empêchent la croissance et la germination des autres graines.” Depuis quelques années, deux de ces plantes invasives sont apparues à Créteil : la jussie et la renouée du Japon. Et le service des Parcs et Jardins les surveille tout particulièrement. “Vu leur adaptabilité et leur vigueur, leur éradication totale est impossible. Notre objectif est de limiter leur développement et d’éviter qu’elles ne s’installent ailleurs.”
Avec ses jolies petites fleurs jaunes, la jussie, qui ressemble au millepertuis, a élu domicile au bord du lac. Elle vient d’Amérique du Sud et a été introduite comme plante d’ornement pour les bassins, avant de se propager dans la nature, de façon particulièrement néfaste pour le milieu aquatique. “La jussie s’étend, dans l’eau, sur certaines berges du lac, poursuit Raoul Petit. Avec le concours de l’Amicale des pêcheurs nous procédons régulièrement à des arrachages, afin de la contenir. Mais plus préoccupante est la renouée du Japon qui a colonisé de nombreux espaces verts de la ville.”
Halte aux envahisseurs !
On la retrouve, en effet, dans les quartiers du Palais, de La Source, de la Pointe-du-Lac et sur de grandes portions de berges des bords de Marne. Les fauchages et les arrachages effectués l’an passé n’ont pas suffi, car cette indésirable a la faculté de se bouturer de façon extraordinaire : ses racines sont très profondes et le moindre fragment restant en terre donne naissance à une nouvelle plante. Elle résiste aussi à tous les désherbants. Sur les bords de Marne, il faudra une mini-pelleteuse pour arracher à nouveau les rhizomes et dès, le printemps, les jardiniers ont prévu de replanter sur bâche, à sa place, des arbres et des arbustes afin de ne pas laisser le sol nu. “Nous allons couvrir le sol pour bloquer la photosynthèse et replanter des arbustes, des aulnes, des saules, car la renouée n’aime pas l’ombre !” Néanmoins, elle essaiera de ressortir, narguant la vigilance des jardiniers…
La renouée, profite aussi des mouvements de terre, qui interviennent lors des terrassements, pour se déplacer et contaminer de nouvelles zones. Partout en Europe et dans le monde, elle est en expansion. Tout comme les autres envahisseurs : la vergerette du Canada, les séneçons du Cap, la solidago verge d’or, etc. Pour les spécialistes, la lutte contre ces plantes invasives est un challenge à prendre aujourd’hui très au sérieux pour le maintien et la protection de la biodiversité. Les jardiniers de la Ville encouragent donc tous les Cristoliens à être aussi vigilants qu’eux pour lutter contre ces plantes qui nous veulent du mal, si elles venaient à franchir le seuil de leur jardin.
Pour en savoir plus, contacter la direction des Parcs et Jardins au 01 56 72 14 94.
Des arts vivants et connectés
Traversés par l’explosion du numérique et l’émergence des réseaux connectés, les modes de créations s’intensifient et participent d’un renouveau permanent. En quelques décennies, la danse contemporaine a entrepris de multiples expérimentations et refondé, pour une part, le cadre des arts vivants. Depuis sa création, le festival Exit se veut la vitrine de cette modernité artistique sans cesse en mutation. Pour sa nouvelle édition à la Maison des Arts, du 18 au 28 mars, Exit a convoqué des artistes du monde entier, la chorégraphe italienne Claudia Castellucci, l’auteure russe Olga Pogodina ou encore le designer français Philippe Starck, pour un dialogue qui s’annonce plus fécond que jamais entre le corps en mouvement, la musique et l’image. Programme.
Dancing Machine
Les questions du corps et du mouvement liées à la danse restent à l’origine des recherches artistiques et créatives les plus innovantes. L’exposition “Dancing Machine” propose une quinzaine d’installations et de performances qui feront dialoguer le corps, le mouvement, la musique et l’image, grâce aux derniers dispositifs technologiques en œuvre dans la création contemporaine. Objets plastiques de chorégraphes, prototypes de la discothèque du futur, machines à danser, igloos musicaux et prospectives expérimentales investissent la Maison des Arts durant les dix jours du festival. L’occasion de découvrir des œuvres signées Alexis O’Hara, Daan Brinkmann, Blanca Li, Kanta Horio, Philomène Longpré… ou encore les nouvelles créations de FestivalNemo@Exit
Du 18 au 28 mars. Vernissage le jeudi 18 mars à 19h.
Ouvert tous les soirs de représentation. Visites guidées sur inscription.
Les deux performeurs utilisent un dispositif électro-acoustique destiné à enclencher un ballet de paillettes de feuilles d’or en suspension qui vont léviter et s’agiter à foison. Leurs déplacements proviennent de l’interaction entre le mouvement créé par des vibrations sonores et le mouvement déjà créé. Cet effet scintillant d’apesanteur se répercute sur le son ambiant et amorce des séquences de mouvements à l’infini.
Le 18 mars à 21h, les 19 et 20 mars à 19h30, espace piscine
Aux frontières des arts visuels et de la théâtralité, le designer et scénographe Lawrence Malstaf déploie une performance singulière dans laquelle les comédiens sont emballés sous vide entre deux immenses films de PVC… A couper le souffle !
Le 18 mars à 22h, les 19 et 20 mars à 21h15, espace piscine
Temporary Distortion, Welcome to Nowhere et Americana Kamikaze
Welcome to Nowhere
Captivant travail sur la mémoire, Welcome to Nowhere combine road movie et love story. Prisonniers d’une boîte de Plexiglas surplombée d’un écran panoramique, les comédiens monologuent, susurrent leur passé, révèlent leurs doutes, la part ténébreuse d’eux-mêmes. Hors de toute narration linéaire, en temps réel, la juxtaposition théâtre/installation/cinéma expérimental provoque la fragmentation des souvenirs où s’entrechoquent fiction et réalité.
Le 18 mars à 20h, les 19 et 20 mars à 19h30, petite salle
Inspiré des histoires de fantômes japonaises, Americana Kamikaze, explore la fluidité des rapports du temps et de l’espace, les contours ténus entre folie et raison et la bascule irrémédiable de nos vies lorsqu’elles sont traversées par des actes d’extrême violence. Les performeurs new-yorkais et japonais de Temporary Distortion se dédoublent en images dans un thriller asiatico-occidental, à mi-chemin entre réel et fiction.
Les 18, 19 et 20 mars à 22h30, petite salle
Philippe Starck et Soundwalk,
Le Son du nous
Conçu spécialement pour le festival Exit, Le Son du nous est une grande aventure collective basée sur un dialogue ludique entre le designer-architecte Philippe Stark, le collectif new-yorkais Soundwalk et le public. Entre altérations de la réalité, manipulations auditives et interprétations musicales, une exploration sonore menant à la découverte d’un son unique, le son du nous.
Les 19 et 20 mars à 20h30, grande salle
Amir Reza Koohestani,
Where were you on January 8th ?
8 janvier, minuit, Lavasan, banlieue de Téhéran. Il neige beaucoup. Quatre étudiantes en théâtre à l’université de Téhéran répètent une pièce dans l’appartement de l’une d’entre elles. Ali, le fiancé de Fati, les rejoint. Il effectue son service militaire dans la police. En dépit de la loi qui interdit à tout officier de porter son arme dans un lieu privé, il passe outre, avec la promesse de regagner son poste avant la fin de la nuit. La neige l’en empêche. Au petit matin, il découvre que son arme a disparu. Composée de conversations téléphoniques entre les personnages, l’action se déroule le lendemain de cette nuit. Des dialogues qui révèlent en filigrane la situation actuelle en Iran.
Les 22 et 23 mars à 19h30, grande salle, surtitré en français
Tatiana Frolova et Olga Pogodina, Sukhobezvodnoie
Sukhobezvodnoie ou Endroit sec et sans eau évoque l’état d’âme de beaucoup de Russes de l’ex-URSS. Une véritable perte d’identité, selon la dramaturge Olga Pogodina. A travers la chronique du quotidien, c’est une tranche d’histoire soviétique qui se déroule. Après 70 ans d’attente, surgit la profonde désillusion de tout un peuple écrasé par l’espoir évanoui de promesses impossibles. Une production du Théâtre Knam, né en 1985 à Komsomolsk-sur-Amour, à 8 000 km de Moscou, de par la seule volonté de Tatiana Frolova, et qui est aujourd’hui l’un des centres de recherche théâtrale les plus dynamiques en Russie d’Extrême-Orient.
Les 25, 26 et 27 mars à 19h30, espace satellite, surtitré en français
Cloud Eye Control, Under Polaris
Under Polaris suit la piste d’une scientifique partie à l’aventure au pôle Nord à la recherche de l’origine du génome humain. Elle se retrouvera face à un ours polaire, un bœuf musqué et un caribou. Un opéra rock multimédia, créé par le collectif Angelin Cloud Eye Control, qui intercale projection vidéo, jeu et animation digitale pour l’évocation d’un monde arctique très singulier. Hallucinatoire et utopique, insolite et sagace…
Les 25, 26 et 27 mars à 22h, petite salle
Delavallet Bidiefono,
Empreintes - On posera les mots après
Entre énergie et transe, “une urgence toute vitale à exister au cœur d’une ville bouillonnante”. Le jeune chorégraphe congolais Delavallet Bidiefono interroge les fondements de son engagement pour la danse. Empreintes : traces du passé, de ses racines, de sa culture qui, bien que mises à mal, restent chargées. Delavallet Bideifono porte une danse très physique où affleurent les rythmes puissants de la tradition. Dans une atmosphère évoquant les nuits de Brazzaville, il donne une voix à cette jeunesse de la galère qui s’est faite contre et malgré tout.
Les 22 et 23 mars à 21h, petite salle
Claudia Castellucci, Homo Turbae
Au sein de Mora, “compagnie de bal” de la Societas Raffaello Sanzio, Claudia Castellucci explore toutes les dimensions possibles du bal à travers l’étude formelle du mouvement rythmique. L’exécution métronimique des mouvements et des pas va prévaloir sur l’expression des émotions rejetant toute sentimentalité apparente. La musique, grave, qui forme et enveloppe chaque pas du ballet, est tirée de l’Œuvre pour orgue de Messiaen. Elle est complétée par des intermèdes écrits par Scott Gibbons.
Les 25, 26 et 27 mars à 21h, grande salle
Festival international exit, du 18 au 28 mars, à la Maison des Arts.
Tarifs : 50 Ä (pass festival, pour tous les spectacles) ;
pass soirée : 24 € (plein tarif), 16 € (tarif réduit),
14 Ä (tarif partenaire) ; 5 € et 3 € (entrée exposition).
Tous renseignements et réservations au 01 45 13 19 19 ou en ligne : www.maccreteil.com
Muni de ce coupon, vous êtes invité au vernissage-cocktail de l’exposition “Dancing Machine” le jeudi 18 mars à 19h à la Maison des Arts, place Salvador-Allende.
Prêts pour le décollage ?
Pour sortir de l’hiver, pensez aux vacances ! Le Centre communal d’action sociale propose aux retraités cristoliens cinq séjours au soleil et un circuit en Hongrie. Des séjours adaptés au rythme des plus jeunes comme des plus âgés, offrant une qualité de prestation alliant confort, détente et découverte. Les prix sont nets, transport, excursions et hébergement compris, et chacun participe financièrement selon ses revenus. C’est le moment de vous inscrire…
Du 13 au 27 mai (30 places)
Prix maximum : 1 211 €
Entre ses plages atlantiques et le massif de l’Atlas, le Maroc offre une belle diversité de paysages. Premier port sardinier, Agadir propose de très belles découvertes : sa casbah, où l’on trouve un ancien grenier à blé, sa médina, ses vestiges, son souk, l’artisanat local ou son musée…
Vous y séjournerez à l’hôtel Club Framissima, Les Dunes d’Or ****, situé au bord de la plage dans de beaux jardins. L’hôtel possède deux piscines et propose une animation francophone quotidienne en journée et en soirée.
Excursions incluses : deux excursions d’une journée à Essaouira et Tiout-Taroudant ; deux excursions d’une demi-journée à Agadir et Imouzzer.
Du 6 au 20 juin (30 places)
Prix maximum : 979 €
Entre mer Égée et mer Méditerranée, la presqu’île de Bodrum est restée sauvage avec ses forêts d’épicéas et ses petites criques de sable blanc baignées par une eau cristalline. A découvrir : l’artisanat, les vestiges antiques, les tavernes où déguster le raki, etc.
Vous séjournerez à Muskebi, village typique à 12 kilomètres de la station balnéaire de Bodrum (navette payante deux fois par jour). Entouré de jardins, le Club 3000 Beach Club (équivalent ***) est situé en bord de mer et donne directement sur une plage de sable et de galets. L’hôtel possède une piscine et propose une animation francophone.
Excursions incluses : deux excursions d’une journée à Milet et Didymes (croisière pique-nique) ; deux excursions d’une demi-journée : Bodrum et découverte de la péninsule.
Circuit-découverte du 15 au 22 juin (30 places)
Prix maximum : 1 276 €
Ce circuit se fait en deux étapes avec un seul changement d’hôtel. De la capitale Budapest, surnommée la “perle du Danube”, aux rives du lac Balaton, le plus grand d’Europe centrale, vous partirez à la découverte de l’histoire, du patrimoine naturel et architectural, de la culture et de la gastronomie de la Hongrie.
Hébergement en hôtels **** situés à Budapest (trois nuits) et sur les bords du lac Balaton (quatre nuits). Circuit en autocar grand tourisme climatisé avec accompagnement d’un guide francophone.
Visites de Buda, de Pest, Esztergom, Visegrad et Szentendre, dîner-croisière sur le Danube, déjeuner typique et spectacle équestre à Kecskemét, presqu’île de Tihany. Pécs, ville inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, château de Keszthely, visite d’une manufacture de porcelaine à Veszprém, etc.
Du 20 septembre au 4 octobre (30 places)
Prix maximum : 1 124 €
Archipel composé de Malte, Gozo, Comino et de deux autres îlots inhabités, Malte est un véritable musée à ciel ouvert. Vous pourrez découvrir les nombreuses fortifications et églises, les côtes rocheuses plongeant dans une eau limpide ou aller à la rencontre de la population.
Vous séjournerez sur la pointe nord de l’île, à 5 kilomètres de Mellieha et 20 kilomètres de La Valette (service de bus réguliers), au Club 3000 Paradise Bay (équivalent ***). Avec ses quatre piscines d’eau salée (dont une couverte), l’hôtel donne accès sur une plage privée et propose une animation francophone quotidienne.
Excursions incluses : deux excursions d’une journée à La Valette et les trois Cités ; deux excursions d’une demi-journée à Mdina et Gozo.
Du 2 au 16 octobre (40 places)
Prix maximum : 1 011 €
Les îles Baléares baignent dans les eaux claires de la Méditerranée. Vous découvrirez de magnifiques paysages, des monuments, vous vous promènerez parmi les oliviers ou les amandiers, vous dégusterez des vins et des plats colorés. Vous séjournerez sur l’île de Majorque, à l’hôtel club Framissima Pamplona ***, situé au cœur de la station balnéaire de Playa de Palma, à 100 mètres d’une vaste plage de sable fin et à 12 kilomètres de la capitale, Palma. Hôtel avec piscine et animation quotidienne en journée et en soirée.
Excursions incluses : deux excursions d’une journée aux jardins d’Alfabia et La Granja, Manacor et les grottes de Hams ; deux excursions d’une demi-journée au marché d’Inca et visite de Palma.
Du 9 au 23 octobre (40 places)
Prix : 1 222 €
Appelée “Kalliste” par les Grecs, la Corse est une montagne qui baigne dans la mer. Vous séjournerez à Calvi, station balnéaire chaleureuse où la vie s’anime autour de son petit port, au village Touristra “La Balagne” (équivalent ***), construit dans la pinède menant à la plage. Hôtel avec piscine et animation quotidienne.
Excursions incluses : deux excursions d’une journée à Ajaccio et la Haute Balagne ; deux excursions d’une demi-journée à Galéria et Saint-Florent.
Les tarifs des séjours sont fixés en fonction des revenus de chacun. La brochure détaillée contenant toutes les informations pratiques sera adressée en mars aux retraités. Les préinscriptions se feront jusqu’au mercredi 31 mars inclus, par courrier ou bulletin déposé au service 3e Âge et dans les relais-mairie. Pour tous renseignements complémentaires, contactez le service 3e Âge au 01 49 80 92 94, postes 36 82, 42 63, 36 90.
Qui succédera à l’équipe poussine 2 de Créteil et aux benjamins de Sarcelles ? Une nouvelle fois, le rendez-vous pascal des footballeurs en herbe sera l’occasion de voir les jeunes pousses en action. Les poussins, dénommés depuis cette année, U10 et U11, normes européennes obligent, et les benjamins, U12 et U13, vont se frotter aux équipes hexagonales lors du traditionnel tournoi de Pâques organisé par l’USC Football. Il aura lieu les dimanche 4 et lundi 5 avril, au stade Duvauchelle de 9h30 à 18h. Les finalistes auront le plaisir de fouler le terrain d’honneur, le lundi, à partir de 16h. Avec 200 poussins (20 équipes de dix) et 240 benjamins
(20 équipes de douze), la participation frôlera les 450 participants, dont 90 enfants de Créteil.
La formule est simple : quatre poules de cinq équipes dans chaque catégorie. Les deux premières équipes sont qualifiées pour les quarts de finale, demi-finales et la grande finale (places 1 à 8). Les troisièmes et quatrièmes de chaque poule se rencontrent pour les places de 9 à 16. Quant aux derniers, ils reforment une poule pour disputer des matches de classement, de 17 à 20. Ce qui permet à chaque équipe d’effectuer le même nombre de matches : sept.
Chaque équipe recevra une récompense et une médaille sera offerte à chaque enfant. Pour agrémenter le tournoi, plusieurs challenges sont proposés. Les trophées individuels du meilleur gardien, buteur et joueur seront décernés à l’issue des finales. Autre trophée, celui du fair-play, et deux autres challenges : par catégorie et celui des meilleurs clubs sur les deux catégories.
Parmi les clubs provinciaux, l’Entente Ytrac/Sansac (15), les Nordistes de Viesly et Hordain, La Riche (37) ont confirmé leur venue. De nombreux clubs de la région parisienne seront également présents. Drancy, Sarcelles, Saint-Leu, Moissy-Cramayel, Les Lilas, Bondy… et le PSG. “Ce type de tournoi permet des échanges entre les jeunes. À la Pentecôte ou à l’Ascension, nous participons également à des tournois en province. C’est l’occasion de découvrir d’autres horizons”, confie Michel Mercier, responsable à l’USC Football et coorganisateur du tournoi. Ce dernier réfléchit déjà à l’organisation, dans deux ans, de la quinzième édition.
A quelques mois de la fin de saison, les équipes de l’USC Football sont en passe d’atteindre leurs objectifs. Les U15 (- 13 ans) jouent en Division Honneur régional (DHR) et se situent dans le milieu de tableau. Les U17 (- 15 ans) évoluent en Division Honneur. Actuellement dans le haut du tableau, ils visent la montée en U17 National (ex-16 ans nationaux). Les deux équipes des U19 (- 18 ans) manœuvrent en Division Honneur, pour la première, et en Division supérieure régional (DSR) pour la seconde. Enfin, après deux montées consécutives (en Promotion Honneur et DHR), les seniors s’aguerrissent en DSR.
Destination voile
La Base de loisirs et son école de voile ouvriront leurs portes le lundi 8 mars. S’adressant à tous les publics, dans un esprit de découverte, de détente et d’initiation, l’école de voile propose plusieurs modes de navigation : voile (dériveur et catamaran), planche à voile et kayak. Les activités de voile ont lieu les week-ends, les jours fériés et pendant les vacances scolaires. Le public peut profiter de plusieurs formules au choix : à la séance (15,30 € pour un adulte et 11,20 € pour les moins de 16 ans) ou trois formules à la carte, valables pour la saison (cinq séances pour 61,20 €, 15 séances pour 161 € et 30 séances pour 276 €). Autre activité, la planche à voile, qui se pratique de mi-avril à mi-octobre, pour les plus de 16 ans. Avec plusieurs formules : à la séance (10,20 €), cinq séances (82 €), 15 séances (216 €) et 30 séances (370 €). Enfin, l’activité kayak, de mai à octobre, n’est proposée qu’à la séance : 6,20 €/h en monoplace et 9,50 €/h en biplace. A noter que des stages Jeunes (8-16 ans) sont organisés dans les trois disciplines. Les participants doivent s’équiper en fonction du temps et prévoir des vêtements de rechange. Et, bien sûr, le port du gilet de sauvetage est obligatoire. Renseignements au 01 48 98 44 56.
Deux Guénot pour une place en or
C’était l’affiche de la quinzième édition du tournoi international de la Cristo-Lutte qui s’est déroulée le 31 janvier dernier. Les frères Guénot se sont retrouvés dans la même catégorie (- 74 kg) et se sont rencontrés dès les huitièmes de finale. C’est Christophe qui s’est imposé face au cadet Steeve. L’aîné des Guénot s’adjuge la victoire finale tandis que le médaillé d’or olympique prend la troisième place. Autre succès tricolore, Artak Margaryan chez les moins de 66 kg. Enfin, quatre Français ont pris la troisième place de leur catégorie : Fuat Seker (- 60 kg), Arthur Hovahnessian (- 66 kg), Mathieu Lorentz (- 96 kg) et Yannick Szczepaniak chez les lourds (120 kg). Une semaine auparavant, lors des championnats de France élite à Schiltigheim en Alsace, Meryem Fatah-Selloum s’était octroyé le titre tricolore chez les moins de 59 kg.
Un 3e titre national pour Brice Leverdez
Brice Leverdez, licencié à l’USC Badminton, est bien le meilleur de sa discipline. Il vient de réaliser la passe de trois. En finale du championnat de France, le 7 février à Caen, Brice a battu le numéro deux tricolore, Mathieu Lo Ying Ping. Côté championnat de Nationale 1A, les Béliers vont devoir redresser la tête s’ils veulent conserver leur place dans l’élite. Après leur défaite face à l’équipe de Grande-Synthe, ils devront réaliser des prouesses le 6 mars contre le Lagardère Paris Racing, prendre des points contre Guichen-Bourg-des-Comptes, le 3 avril, et aller chercher un exploit à Mulhouse le 8 mai.
Les Béliers face aux deux premiers
Alors que l’US Créteil-Lusitanos est, au minimum, assurée du maintien en National, les hommes de Laurent Fournier disputeront, en mars, deux matches cruciaux. Le vendredi 5 mars, ils recevront l’équipe de Troyes et, le vendredi 12, ils affronteront Évian-Thonon. Deux succès permettraient à la troupe du président Armand Lopes de faire un grand pas vers les trois premières places, synonymes de promotion en Ligue 2. Autres rencontres : les Cristoliens recevront Rodez le 19 mars et se déplaceront à Amiens le 26 mars.
Un beau palmarès
L’épreuve régionale individuelle, qui s’est déroulée à Savigny-le-Temple lors du week-end de la Saint-Valentin, aura porté chance aux gymnastes cristoliennes. En critérium, chez les 10 ans, la benjamine Noémie Rupaire prend la seconde place et, chez les 11 ans, Leslie Leste-Lasserre et Nell Salem se classent respectivement 2e et 3e. En minimes, Lara de Gournay (12 ans) et Poline Baranova (13 ans) s’adjugent le titre régional. En division fédérale, la minime Nawel Berriche et la senior Karine Eksuzyan montent sur la plus haute marche du podium, tandis que la junior Romane Leborgne se hisse à la seconde place. En National B, chez les 13 ans, Théa Guiot et Éva Durand terminent 2e et 3e, et chez les 14 ans, Claire Gouel et Loïcia Jacob finissent 2e et 4e.
Trois champions du Val-de-Marne
Lors du championnat du Val-de-Marne de judo, le 31 janvier dernier à Thiais, la junior Marine Jaulin (+ 78 kg), les cadets Aurélien Le Maux (- 60 kg) et Dylan Sadoun (- 66 kg) sont devenus champions du département. De leur côté, les juniors Lila Arhab (- 52 kg) et Anaïs Chauvel (- 57 kg) ont pris la seconde place. Melwin Deflandre (- 60 kg) et Nicolas Le Borgne (- 73 kg) les ont imitées chez les cadets. En jujitsu, à Orléans le 24 janvier, Anaïs Chauvel (- 58 kg) et Nicolas Pasket (- 60 kg) sont montés sur la seconde marche du podium, tandis que Jean-Yves Nabajoth (- 73 kg) s’est classé troisième.
Bravo les Dauphins !
Lors de la seconde journée Progrès organisée à Créteil, les poussins (Alexandre Guillemot, Samy Mekhzouni, Maxime Pommereau, Inès Brault et Célia Hochet) ont réalisé des temps remarquables. Toujours à Créteil, au natathlon, ce sont Killian Quertant, Clarence Mbyi, Dylan Voisin, Kenny Ramjattan qui se sont distingués chez les garçons et Lina Bourassi et Serena Lacoste chez les filles.
A noter aussi les bons résultats au meeting spécial Île-de-France, à Paris, des minimes 1 et 2 : Audrey Loubeyre 1re au 50 m crawl, Leila Baklouti et Léo Cardey 2es au 50 m papillon. Brice Gayant et Valentin Lagant ont réalisé de très bons temps. Au 1er trophée des Hortillons à Amiens, les Dauphins de Créteil, fidèles à leur réputation, se sont classés 2e club sur les 38 représentés, grâce à Mylène Léonard, Yann Quertant, Guillaume Seng et Vila Cid Mal qui, à eux quatre, ont raflé 12 podiums dont 7 en or, 4 en argent et 1 en bronze.
Vendredi 5
Football
Stade Duvauchelle
20h : Championnat national, USC-Lusitanos/Troyes
Samedi 13
Handball
Gymnase Nelson-Paillou
18h30 : championnat de France N2, USC 1B/Bois-Colombes
Vendredi 19
Football
Stade Duvauchelle
20h : Championnat national, USC-Lusitanos/Rodez
Samedi 20
Échecs
Maison des Associations
14h : Grand Prix féminin organisé par le Club Thomas-du-Bourgneuf
Natation
Piscine Sainte-Catherine
14h à 20h : Journée Progrès organisée par Les Dauphins
Handball
Palais des Sports
20h15 : championnat D1, USC/Toulouse
Samedi 27
Football
Stade Duvauchelle
18h : championnat CFA2, USC-Lusitanos 1B/Roye
Tennis de table
Centre Dassibat
16h : championnat de France N2, USC/Montfort
Samedi 27 et dimanche 28
Natation
Piscine Sainte-Catherine
14h à 20h : journée Natathlon organisée par Les Dauphins
Dimanche 28
Voile
Base de loisirs
9h à 17h : régate de ligue optimist, organisée par l’USC
Les dessins d’Alain Barret exposés à la Galerie d’Art du 13 mars au 10 avril.
Alain Barret présente une œuvre dont le sujet se déploie comme une collection particulière. Il aménage les lieux de passages entre dessin, peinture, vidéo ou BD. Sa pratique journalière du dessin en carnet fait émerger des figures récurrentes, parfois liées à l’enfance. Alain Barret déborde du carnet de croquis, base de son travail, pour bousculer le cadre classique de la narration. Une nouvelle iconographie déconstruite installe le dialogue entre toutes les dimensions à disposition. L’artiste joue avec nos certitudes, sème le doute. L’intime perceptible et suggestif qu’il laisse transparaître provoque les onomatopées de l’étonnement et de l’incompréhension qu’il nous restitue avec malice.
L’édition 2010 de Jour de fête se tiendra le 20 juin prochain sur le thème “Les Lumières de la ville” d’après le film de Chaplin. La Cie Käfig/CCN de Créteil et du Val-de-Marne vous invite à participer aux ateliers de préparation de ce grand événement. Chorégraphie, musique, réalisation des costumes et des décors, autour des quatre personnages : l’homme de pouvoir, l’homme de loi, la belle amoureuse et le Charlot. Débutants ou confirmés, nous vous attendons nombreux ! Début des ateliers : le 15 mars 2010.
Renseignements
Nom :
Prénom :
Date de naissance :
Sexe : □ Masculin □ Féminin
Adresse :
N° de tél. :
Mail :
Profession ou activité :
Choix des ateliers
(« chant/musique » et « danse » ne sont pas cumulables)
Cocher la case correspondant à l’atelier de votre choix.
□ Atelier danse (choisir un seul rôle)
□ Le Charlot
- le lundi : □ 18h30-20h □ 20h-21h30
□ La belle amoureuse
- le mardi : □ 18h30-20h □ 20h-21h30
□ L’homme de loi
- le mercredi : □ 18h30-20h □ 20h-21h30
□ L’homme de pouvoir
- le jeudi : □ 18h30-20h □ 20h-21h30
□ Pour les enfants
- le mercredi : □ 14h-15h30 □ 15h30-17h
□ Atelier chant/musique
□ Atelier confection de costumes
□ Atelier confection de décors
Si vous êtes déjà inscrit dans un équipement culturel/scolaire qui organise un atelier Jour de fête, merci de préciser le nom de la structure :
Merci de retourner ce bulletin d’inscription rempli et signé à cette adresse :
Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne,
c/o Maison des Arts, place Salvador-Allende - 94000 Créteil
Informations au 01 56 71 13 20 , contact@ccncreteil.com, www.ville-creteil.fr
Marc Riboud nous propose un voyage photographique dans le Tibet des années 1980. En allant voir ailleurs, sans condescendance, misérabilisme ni exotisme, il nous permet de rencontrer l’autre, au-delà des clichés. Nous avons encore, imprimée dans nos mémoires, l’image de cette femme offrant une fleur à une rangée de baïonnettes.
V Les Tibétains, Imprimerie nationale Éditions
A l’occasion du 12e Printemps des Poètes, “Couleur femme”, le poète-troubadour, Gérard Pitiot, chantera les textes de poétesses contemporaines, dont ceux de Chantal Dupuy-Dunier tirés de son recueil (Des ailes : “Les mots ont des murmures/de boucles brunes/Mes doigts sont des stylos/Sur la feuille de toi”…) et ceux de Marie Étienne (Anatolie : “On regarde le monde/Il reçoit sans donner/On regarde les hommes/Le doigt sur le képi/On regarde les hommes/Ainsi on balbutie…”). Le samedi 27 mars à 16h, à la bibliothèque Village (01 42 07 04 07).
V Des ailes, Voix d’encre V Anatolie, Flammarion
Anselme est un vieux bouquiniste. Il se lie d’amitié avec Phil, un gamin fan d’Arsène Lupin qui est arrivé au bout des aventures de son héros. Anselme ne sait plus que conseiller au jeune garçon pour relancer son intérêt et son goût dans la vie (Phil est en chimiothérapie). Il embarque alors Phil sur son vieux side-car à la recherche du trésor de Marius Jacob, le voleur au grand cœur qui a inspiré le personnage de Lupin. Les deux amis se lancent à l’aventure sur les routes de Normandie. Et, comme dit Anselme : “Le souffle de l’aventure, c’est un fameux remontant.” Dès la 6e, pour les bons lecteurs.
Le Voyage de Phil, Syros, Souris noire
Au cœur des sixties, Los Angeles s’illustre par un esthétisme solaire plus proche de l’insouciance du swinging London que de l’effervescence séditieuse de San Francisco. Ce beau coffret retrace l’histoire dense de l’ère psychédélique dans la Cité des Anges, où résonnent, parmi d’authentiques trésors cachés, les carillons folk des Byrds, la pop flamboyante de Love ou les riffs félins et hargneux des groupes de rock garage : bref, un panorama fascinant du son angeleno de l’âge d’or.
Where the Action Is
Quand le noyau dur des Allemands de Poets of Rhythm s’acoquine avec la crème des musiciens de Brooklyn (Antibalas, Dap Kings…), on a droit à du groove millésimé et millimétré. Funk au son ultravintage tout en étant résolument moderne, avec influences hip-hop et dub, on pense parfois aux délires instrumentaux des Beastie Boys ou à certains albums de Medeski, Martin & Wood. Un premier album édité initialement en 2002 qui ressort aujourd’hui.
In the Raw
Ces trois musiciens très actifs ont multiplié les expériences à travers le monde depuis la fin des années 1970. Leur rencontre donne naissance à une musique riche de nombreuses influences, notamment américaines (blues, folk) : les cordes y sont à l’honneur. Grâce à l’apport d’instruments traditionnels (luth, bouzouki, mandoline), le trio fait des incursions dans les musiques arabisantes, latines, sans jamais tomber dans la copie des musiques traditionnelles.
Rivermudtwilight
- Brigitte Lemaine
La réalisatrice Brigitte Lemaine est allée à la rencontre d’Elsa, une enfant, qui, comme elle, vit avec des parents sourds. Plongée entre deux univers, celui des entendants et celui du silence, Elsa nous raconte son quotidien, ses joies, mais aussi la difficulté d’être la traductrice et l’interface entre ses parents et l’extérieur. Enfant bilingue malgré elle, Elsa ne doute pourtant pas de la richesse de ce double langage.
L’Enfance sourde, FotoFilmEcrit
Les propos tenus dans les colonnes de la rubrique Expressions libres n’engagent que leurs auteurs.
Président du Groupe socialiste
Aux urnes, Cristoliens !
Mars est le mois d’une échéance importante, celle des élections régionales qui auront lieu les dimanches 14 et 21. A l’heure où j’écris ces lignes, la campagne bat son plein, les arguments s’échangent, les programmes se confrontent, et c’est très bien comme ça. Au cours de cette campagne, nous, élus socialistes de Créteil, jouerons notre rôle. Mais, vous le savez, vous le voyez, nous n’avons pas pour habitude d’attendre les élections pour aller à votre rencontre. Cela étant, toute échéance électorale est propice à réflexion. Ainsi en est-il du droit de vote en démocratie. Concept évolutif qui, au cours de l’Histoire, donna matière à tant de controverses, d’aucuns dénonçant « la liberté du renard libre dans le poulailler libre », d’autres rétorquant que « la démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres ». Qu’est ce qu’un vote démocratique ? Disons qu’il peut être tenu pour tel lorsque le choix des électeurs s'effectue librement, sur la base d'une réelle compétition entre candidats, et dans un contexte de débat public intense et rigoureusement libre. Sur les 192 Etats membres des Nations-Unies, une minorité répond à cette définition. La France en fait partie. Participant de l’Union européenne, elle a, en sus, élargi le droit de suffrage pour les élections municipales aux ressortissants communautaires. Mais quid des autres "étrangers" ? J’évoque, ici, tous ces Cristoliens, souvent de longue date, dont pour la plupart les enfants sont français, pour beaucoup, militants associatifs engagés et acteurs du quotidien de nos quartiers, nos amis, nos voisins, aujourd’hui dépourvus du droit de vote à toutes les élections locales, régionales comprises. Qui peut nier qu’ils soient, à part entière, des citoyens de notre ville ? Pas les socialistes qui ont déposé une proposition de loi en ce sens. Sur ce sujet, notre conviction est forte. On peut tout à la fois se sentir citoyen de son pays d’origine et citoyen de la ville où l’on vit. Constat de bon sens, loin des polémiques partisanes, de la vie telle qu’elle est, de la vie telle qu’elle va. Voila pourquoi, à chaque échéance électorale, voter demeure un acte essentiel. Garder à l’esprit tous ces abstentionnistes forcés de Créteil ou d’ailleurs ne peut qu’inciter à en exercer le droit. Négliger de le faire expose souvent à des déconvenues. Lors des dernières européennes, l’abstention a atteint dans notre ville près de 75 % ! Résultat, malgré un petit nombre de suffrages – un peu plus de 4 000 - la droite, jamais à pareille fête, est arrivée en tête à cause de cette abstention massive. Ce fut la même chose dans tous le pays. Fort de cette illusion d’optique, le pouvoir a continué de plus belle à mener sa politique. Quelques mois plus tard, on en voit le résultat. Intervenant à mi-mandat, ces élections régionales seront aussi l’occasion pour chacun de dire au chef de l’Etat – qui, il y a peu, affichait vouloir « nationaliser la campagne » - ce qu’il pense de la direction dans laquelle, depuis son élection, il entraîne le pays
Alors, les 14 et 21 mars prochains, aux urnes, Cristoliens !
Merci d’avance.
Groupe communiste, républicain et citoyen
Ne pas reculer
Pourquoi l’allongement de la durée de vie, les conquêtes sociales et médicales ne serviraient qu’à travailler plus !
L’idée n’est pas nouvelle. En 1945, dès la création de la sécurité sociale, les forces patronales et leurs relais politiques se sont élevés contre le handicap que constituait selon eux la protection sociale pour l’économie.
En 1962, un rapport concocté par les tenants du libéralisme proposait de porter la retraite à 65 ans et 45 ans de cotisations. Depuis tout ce temps, l’économie s’est développée, le pays s’est modernisé y compris dans les moments de crise.
Verser dans le catastrophisme sur la question du financement des retraites en décrétant une politique de bas salaires et une casse méthodique de l’emploi c’est scier les branches sur lesquelles sont assises les ressources des régimes de retraites, publics comme privés. Et le gouvernement de crier à l’impossibilité de financer les retraites !
Ils sont par moment, frappés d’amnésie, ils oublient que les sociétés non financières ont distribuées 83 milliards d’euros de dividendes à leurs actionnaires en 2008 soit 8 milliards de plus que l’année précédente au moment où le déficit du régime général était de 5,8 milliards d’euros. N’est ce pas la cour des comptes qui vient de donner officiellement le montant des niches fiscales : 140 milliards d’euros ! L’argent existe bien pour satisfaire les revendications des salariés.
Le dossier des retraites c’est un choix de société, il faut puiser dans les profits, les richesses produites et garder notre système par répartition. C’est le choix de donner satisfaction aux besoins du plus grand nombre contre celui d’accorder plus de dividendes pour une fraction infime de la population.
Les élus communistes seront donc de tous les combats avec les salariés pour réaffirmer notre engagement en faveur du maintien de la retraite à 60 ans.
Groupe Société civile
Les délocalisations, un phénomène appelé à s’amplifier
D’après l’Insee, la moitié des emplois délocalisés aurait été transférée vers des pays à bas salaire. La Chine représente de loin, avec 30% des emplois délocalisés, la principale destination de délocalisation, devant l’Europe centrale et orientale (20%) et l’Afrique du nord (16%). Les délocalisations concernent particulièrement les secteurs de l’industrie intensifs en main d’œuvre notamment sur les produits de grande consommation comme le textile, l’électroménager, la sidérurgie…Ce phénomène a un effet d’entraînement dans les délocalisations. En effet du point de vue des entreprises, réussir une première opération de délocalisation incite à renouveler l’opération. Les délais d’exécution sont alors plus rapides et, à la motivation de maîtrise des coûts, s’en joignent une conquête plus simple des marchés locaux, des allègements de réglementation ou de fiscalité La délocalisation des uns entraîne ou favorise la délocalisation des autres. Une entreprise qui délocalise une importante unité de production cherche à reconstituer sur place un réseau de fournisseurs et de sous-traitants. Ses partenaires traditionnels sont tentés à leur tour de délocaliser pour se rapprocher de leur donneur d’ordre.
Une succession de délocalisations dans un même secteur conduit à la raréfaction de certains savoir faire en France. Cette situation incite les entreprises qui ont besoin de ces compétences à délocaliser à leur tour.
Les concurrents des entreprises ayant délocalisé seront encouragés à faire de même afin de rester compétitifs. Il est à déplorer que les délocalisations se poursuivent et aggravent encore le problème du chômage aujourd’hui et mettent en péril nos emplois de demain. C’est à l’échelle de l’Europe qu’une réflexion doit être engagée pour arrêter cette fuite des entreprises et cette course à des économies de production. Sinon, quelle solution ? Entamer une vraie réforme fiscale adaptée aux différents types d’entreprises selon leur niveau de bénéfices et leur utilité sociale et en encourageant les créations d’emploi l’entreprenariat.
Orientations budgétaires 2010
En vertu de l’article L52 du code électoral sur le plafonnement des dépenses électorales, Agir Pour Créteil s’abstient de s’exprimer sur la campagne électorale en cours dans les pages de ce journal municipal.
Nous vous invitons cependant à consulter notre blog www.agirpourcreteil.com et à participer aux débats qui s’y tiennent.
Lors du Conseil Municipal du 08 février, M. Cathala a présenté ses orientations budgétaires pour l'année 2010. Malgré quelques bons points, ces orientations nous déçoivent une nouvelle fois et les espoirs de baisse de la pression fiscale amorcés en 2009 sont, hélas, déjà enterrés. Jugez vous-mêmes.
1. Réforme de la Taxe Professionnelle (TP) : M. Cathala a cru bon de critiquer cette mesure, tout en reconnaissant à mi-mot qu'elle était indispensable depuis longtemps.
Concrètement, cette mesure n'aura aucune incidence sur le budget 2010, grâce aux compensations prévues par l'Etat. Pour 2011, aucune baisse des recettes fiscales n’est encore acquise, le parlement travaillant toujours à la mise en place des ressources alternatives.
De toute façon, notre ville devenant malheureusement un désert d'entreprises, aucun impact important n'est prévisible. En effet, les ménages constituent la première source de financement de la commune avec 38% des recettes.
2. Les dépenses de fonctionnement, déjà très exagérées (129 millions €, soit 54,3% du budget), vont encore augmenter. Alors que les Cristoliens poursuivent leurs efforts face à la situation économique, la priorité devrait être donnée à la maîtrise de ces dépenses afin de ne pas entamer leur pouvoir d’achat.
3. La modification du calcul des quotients familiaux, décidée en 2009 sans évaluation de l'impact budgétaire, va se traduire par une baisse des recettes et une hausse des dépenses. Ces écarts ne sont toujours pas chiffrés, pas plus que la hausse des dépenses du CCAS et des subventions directes ou déguisées aux associations.
Si ces dépenses peuvent être justifiées dans les cas difficiles, nous soutenons que la meilleure politique sociale est celle qui consiste à favoriser l’emploi afin que chacun retrouve une situation économique viable et pérenne.
4. Pression fiscale : Pour financer ces nouvelles dépenses et compenser le manque à gagner causé par la chute des droits de mutation (-1,3 M€), la municipalité prévoit d'augmenter une nouvelle fois les taux d'imposition sur les ménages de +1 point, qui s'ajoutera à l’augmentation de la valeur locative des résidences (+1,2%). Après une pause en trompe-l'œil en 2009, compensée par un nouvel emprunt bancaire, la politique d'augmentation continue de la pression fiscale reprend son cours.
5. Les investissements seront en bonne partie concentrés sur la requalification de la rue du Général Leclerc, les aménagements du quartier des Bleuets et la rénovation dispendieuse du stade Desmont.
6. Développement durable : Signalons de bonnes initiatives dans ce domaine, avec un bilan énergétique complet des bâtiments communaux, une automatisation des arrosages publics et une étude pour un second puits géothermique.
En conclusion, nous constatons que la majorité municipale, comme dans les autres collectivités locales de gauche, n'a d'autre réponse à l'augmentation perpétuelle de ses dépenses que celle des impôts, sans jamais chercher à accomplir des gains significatifs de productivité dans ses propres services.
Pour cette raison, Agir Pour Créteil ne soutiendra pas cette politique et refusera de voter le budget 2010 en l’absence d’un engagement concret sur la maîtrise des dépenses de fonctionnement.
Ajoutons que notre critique n’est pas idéologique et partisane : le magazine économique Challenges vient de publier son classement annuel des villes les mieux gérées de France et Créteil se place dans le dernier lot des 872 villes évaluées… Une performance navrante et regrettable.
Nous vous invitons à consulter et à réagir sur notre blog : http://www.agirpourcreteil.com
Les élus Agir Pour Créteil
Vos élus, Jérôme Piton et Madeleine Masengu
Groupe Modem
L’égalité des droits des femmes : un combat à poursuivre.
Le 8 mars, journée internationale des Femmes, est un moment privilégié pour faire le bilan sur les avancées des droits des femmes.
Le constat n’est pas optimiste :
- Les violences faites aux femmes sont malheureusement extrêmement inquiétantes (une femme meurt tous les deux jours et demi sous les coups de son mari ou de son compagnon.) la région Ile de France est l’une des neuf régions françaises les plus concernées notamment par les mutilations sexuelles faites aux femmes.
- Les femmes subissent davantage le chômage, le temps partiel non choisi et l’écart des salaires moyens est aussi en leur défaveur. La crise économique et sociale actuelle aggrave cette situation : en cette année 2010, des femmes accompagnées de leurs enfants viennent aux repas des sans-abris.
A cela s’ajoutent la difficulté des femmes à assumer une vie professionnelle active et les responsabilités familiales qu’elles sont souvent les premières et parfois les seules (famille monoparentale) à assumer, les difficultés liées aux horaires d’ouverture et de fermeture des crèches souvent peu adaptés aux horaires de travail.
Ainsi, malgré les différentes lois votées en faveur des femmes, dans la réalité, l’égalité des droits des femmes inscrite dans le Préambule de la Constitution reste à conquérir.
Vos élus MoDem défendent l’égalité de traitement entre les femmes et les hommes qui doit notamment se traduire par un aménagement du temps de travail, l’égalité salariale entre les hommes et les femmes, l’aménagement des horaires des structures accueillant la petite enfance.
Pour nous contacter : elus.modem@ville-creteil.fr
www.modem-creteil.fr
Catherine de Luca
Groupe Les Verts
Lois sécuritaires, le gouvernement ne bégaie plus, il radote !
Le nombre de textes en lien avec les questions de sécurité votés depuis 2001 est considérable, avec les piètres résultats que l’on sait.
Après l’échec pathétique du débat de Besson sur l’identité nationale, le leurre de celui sur la burqa et la cacophonie sur l’aggravation des peines pour atteintes aux personnes âgées, le gouvernement tente une autre piste pour arriver à ses fins en remettant au programme du parlement la loi dite Loppsi.
Celle-ci prévoit d’imposer le couvre-feu pour les moins de 13 ans et d’instaurer des dispositifs censés limiter les cambriolages, avec la généralisation de la vidéosurveillance et l’élargissement des fichiers policiers…
Le gouvernement fait un pas de plus vers une société qui n’a que la répression pour solution à ses maux. On peut se demander pourquoi on fait voter cette loi à quelques semaines des régionales ?
Les citoyen-ne-s n’ont pas mordu à l’hameçon ni pour le débat sur l’identité nationale, ni sur la burqua... leurs préoccupations premières sont la détérioration de leur cadre de vie environnemental, social et démocratique. Ils ne mordront pas non plus à l’hameçon du tout sécuritaire !
Programmation du mois de mars
La Princesse et la Grenouille de Ron Clements et John Musker (de 4 à 77 ans)
Un prophète de Jacques Audiard
Océans de Jacques Perrin
Fleur du désert de Sherry Hormann (vo)
L’Arbre et la Forêt d’Olivier Ducaste et Jacques Martineau
A Single Man de Tom Ford (vo)
Welcome de Philippe Lioret
Precious de Lee Daniels (vo)
Fantastic Mr Fox de Wes Anderson (à partir de 6-7 ans)
Océans de Jacques Perrin
Fleur du désert de Sherry Hormann (vo)
Precious de Lee Daniels (vo)
Le Rêve italien de Michele Placido (vo)
L’Arbre et la Forêt d’Olivier Ducaste et Jacques Martineau
Mother de John-Ho Bong (vo)
Tirez sur le pianiste de François Truffaut
Ilusiones Opticas de Cristian Jimenez (vo)
Achille et la Tortue de Takeshi Kitano (vo)
Le Signe de Zorro de Roben Mamoulian (à partir de 9 ans)
Fleur du désert de Sherry Hormann (vo)
Precious de Lee Daniels (vo)
Le Rêve italien de Michele Placido (vo)
Achille et la Tortue de Takeshi Kitano (vo)
La Stratégie du choc de Michael Winterbottom (vo)
Nine de Rob Marshall (vo)
La Pivellina de Tizza Covi (vo)
Soul Kitchen de Fatih Akin (vo)
Malin comme un singe, programme de courts métrages (de 3 à 6 ans)
Soul Kitchen de Fatih Akin (vo)
Nine de Rob Marshall (vo)
White Material de Claire Denis
Lundi 8 mars à 20h : Fleur du désert de Sherry Hormann. Soirée organisée dans le cadre de la Journée des Femmes en partenariat avec Tremplin 94. Thème du débat : “Femme et étrangère, le prix de l’émancipation”. Tarif unique : 5 €.
Jeudi 11 mars à 20h : Tirez sur le pianiste de François Truffaut. Soirée Les Classiques du Palais avec Jean-Pierre Jeancolas, historien et critique de cinéma.
Jeudi 18 mars à 20h : La Stratégie du choc de Michael Winterbottom. Soirée organisée en partenariat avec La ligue des droits de l’homme.
Mercredi 31 mars à 20h : Le Temps des Grâces de Dominique Marchais. Soirée organisée en partenariat avec Nature & Société.
Une éxécution ordinaire de Marc Dugain : mer 18h30, ven 16h et 21h, sam 17h15 et 21h, dim 14h30 et 21h, lun 16h et 21h, mar 18h30.
La Vida Loca, documentaire de Christian Poveda (vo) : mer 21h, ven 18h30, sam 19h15, dim 19h, lun 18h30, mar 21h.
Le garçon qui ne voulait plus parler de Ben Sombogaart (vo, à partir de 8 ans) : samedi 13 mars à 14h30 (suivi d’une rencontre-débat avec Pablo Krasnopolsky du Réseau Éducation sans Frontière).
Le Chien jaune de Mongolie de Byambasuren Davaa (vf, à partir de 5 ans) : mer 14h30, dim 16h30.
La Lucarne participe au Printemps du cinéma (tarif unique 3,50 € du 21 au 23 mars)
Sherlock Holmes de Guy Ritchie (vo) : mer 18h30, ven 16h, sam 21h, dim 14h30, lun 21h, mar 18h30.
Adama, mon kibboutz de Dror Shaul (vo) : mer 21h, ven 18h30, sam 19h, dim 21h, lun 16h.
La Merditude des choses de Félix Van Groeningen (vo) : ven 21h, sam 16h30, dim 19h, lun 18h30, mar 21h.
La Princesse et la Grenouille, dessin animé de Ron Clements et John Musker (vf, à partir de 4 ans) : mer 10h et 14h30, sam 14h30, dim 17h.
L’Autre Dumas de Safy Nebbou : mer 21h, ven 14h30 et 18h30, sam17h et 21h, dim 14h30 et 21h, lun 14h30 et 18h30.
Musique et cinéma
Tarif de 3 € pour les adhérents de la MJC et du centre Madeleine-Rebérioux et pour les spectateurs du concert “Le jazz et ses racines” (le 28 mars à la MJC, cf. p.10).
The Last of The Blue Devils, documentaire de Bruce Ricker (vo) : mer 18h30, ven 21h (projection précédée d’une intervention jazz par Laurent Bernard), dim 18h, lun 21h.
Pierre et le Loup, film d’animation (d’après Prokofiev) de Suzie Templeton : mer 14h30, sam 14h15 (séance présentée par Nathalie Dubois, professeur d’éveil musical), dim 16h30.
Mars 2010 N° 300
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