Les anecdotes du parc Dupeyroux
Photo du parc Dupeyroux

Chargé d’histoire, le parc recèle de nombreux secrets que vous pouvez découvrir au hasard d’une promenade.

 

Le grand portail, les armoiries et devise de la ville

 

En rachetant la propriété en 1867, l’archevêque de Paris, Mgr Darbois, fait remplacer les armoiries et la devise des anciens propriétaires par les siennes : un blason avec une croix sur un fond azure et « Labore fideque » (« par le travail et par la foi »).

 

Elles sont toujours présentes sur le grand portail. Au début du XXe siècle, lorsque les communes sont invitées à se doter d'un blason et une devise, la Ville de Créteil choisit de les conserver.

 

La statue de la vierge

 

Aux environs de 1870, Mgr Darbois fait don d’une statue de la Vierge qui, au-delà du bassin, fait face au grand salon de la villa. Cette statue est construite sur le principe des structures métalliques chères à Gustave Eiffel.

 

Mémoire d’un soldat

 

Gravé au couteau sur un hêtre blanc par un soldat à l’occasion de la guerre franco-prusse (aux alentours de 1870), l’inscription « Vive la France » est toujours visible.

 

La passerelle

 

À l’origine, la passerelle présente dans le parc était rectiligne. Elle prend la forme bombée pendant les bombardements de la seconde guerre mondiale.

 

Les alliés ont en effet confondu la réverbération de la cloche des serres avec la gare de triage de Villeneuve Saint-Georges et un obus est tombé alors sur le petit pont.

 

La stèle de l’aviateur

 

À proximité de l’aire de jeux pour enfants se dresse la stèle de l’aviateur. Elle marque le lieu où s’est écrasé l’avion de Jean Cayron le 25 janvier 1927, lors d’un meeting aérien organisé au Mont-Mesly.

 

 

Parc Duperoux

Le parc Duypeyroux : un lieu d'histoire chargé de souvenirs