Les expos 2002
photo de la galerie d'art de créteil

Dédé d'Almeida / Yan Dillenscneider
Du 11 janvier au 24 février 2002

 

 

Cette rencontre entre les deux artistes trouve immédiatement son sens si l'on s'en tient aux sujets représentés. Mais passée cette première impression, émerge le sentiment d'une différence.

 

Des peintures de Dédé D'Almeida, il émane un mystère, une sorte de simulacre s'installe et l'on se demande comment les images fixes du paysage arrivent à produire un mouvement.

 

C'est ultérieurement qu'on perçoit le procédé optique, la déformation de la couleur agit pour absober les contours. Le flou qui s'en dégage oblige à opérer une mise au point.

 

 

Pour Dédé d'Almeida ce mouvement passe par la photographie.

 

 

L'angle de l'objectifsert à définir un point de vue qui sera dénaturé par la technique de la peinture.

 

Chez l'une comme chez l'autre, la peinture fait corps avec la photographie, les procédés se nouent les uns aux autres pour le besoin de la toile.

 

Olivier Alibert

Du 9 novembre au 9 décembre à la galerie d’Art

 

Sur la première exposition individuelle du jeune artiste peintre Olivier Alibert. Du 9 novembre au 9 décembre à la galerie d’art.
 

Les œuvres sélectionnée pour ce regard sur la jeune création forment une série qui trouve son origine dans divers expérimentation autour de l’objet en photographie.

 

C’est à partir de la multitude reproduite et mis en scène dans les catalogues publicitaires que le peintre sélectionne et associe un ensemble d’objets qui occupent le fond blanc de la toile laissant au vide l’espace indispensable qui permet à l’étrange, l’insolite, ou l’absurde de survenir.

 

La surface peinte associe des aplats colorés, le dessin au trait de pinceau plus ou moins fin, des effets aquarellés ou lavis, dans une palette de huit couleurs qui se combinent et s’opposent .

 

La peinture fonctionne selon un ordre très précis elle installe une distance critique une sorte « bruit optique » qui nous rappel les rythmes et les sons d’un univers d’hyper consommation . Mais la toile est d’abord conçue comme espace ludique ou le regard circule et s’arrête sur une forme familière, créant ainsi un réseau d’associations qui convoque l’imagination et invite l’onirique.

 

 

Le parcours des ateliers d'art plastiques - 4e édition

 Du 30 avril au 8 juin

 

Pour la quatrième année consécutive, le parcours des ateliers d'art plastiques se poursuit dans les MJC Mont-Mesly, la Haye aux moines, Club de Créteil, Village et à l'université Paris XII . Dans quelques jours, une sélection d'œuvres réalisées cette année autour du thème " CORPS " sera réunie à la galerie d'art pour une exposition collective.

 

Toutes les œuvres sont encore visibles dans chacun des équipements participant à cette manifestation. La multiplicité des modes d'expression, dessins peintures sculptures photographies, ne manquera pas de nous faire découvrir cette année encore la richesse des différences et la singularité des sensibilités.

 

La galerie présentera une sélection de ce collectif du 17 mai au 2 juin, au plus près des recherches que les ateliers d'art plastiques ont su nourrir avec ce rendez vous.

 

Vernissage : le jeudi 2 mai 2002, à 18h30

 

Mont-Mesly :
Exposition : du 2 mai au 23 mai 2002
Vernissage : jeudi 2 mai, à 20h


Haye-aux-moines :
Exposition : du 30 avril au 31 mai 2002
Vernissage : mardi 30 avril, à 19h


Village :
Exposition : du 3 mai au 26 mai 2002
Vernissage : vendredi 3 mai, à 19h


Club de Créteil :
Exposition : du 6 mai au 8 juin 2002
Vernissage : mardi 6 mai, à 19h


Paris XII
Exposition : du 29 avril au 17 mai 2002
Vernissage : jeudi 3 mai, à 12h30


Tous renseignements au : 01 49 56 13 10

 

Carlos Cruz-Diez

 

Expérience chromatique aléatoire de l'œuvre manipulable à l'œuvre interactive 1954 -2002


du 9 mars au 14 avril 2002 à la galerie art dans le cadre des premières rencontres Sciences et Arts organisées par le service culture et vie de l'étudiant de l'université Paris XII


Carlos Cruz-Diez mène depuis plus de quarante ans une réflexion sur la couleur , il dit d'une œuvre d'art qu' " avant de prendre en compte n'importe quelle considération d' esthétique " traditionnelle " elle doit contempler la création d'un évènement dans lequel le dialogue espace - temps - réel soit présent "


C'est ainsi que l'artiste vénézuélien aura parcouru le monde et intégré dans l'architecture et l'environnement urbain de Caracas à Paris un grand nombre d'œuvres monumentales.

 

Carlos Cruz-Diez construit un langage ,il fait état d'une dialectique de la couleur . Les titres de ses œuvres traduisent une méthodologie scientifique : interférences chromatiques, inductions chromatique, chromosaturations, physiochromies ; Il installe sans cesse un double régime, un double rythme tout se joue entre l'inanimé de l'objet et l'animation de sa mise en œuvre.

 

Entre l'apparition et la disparition de la couleur, quelque chose passe, s'infiltre, s'immisce, travers et délite toute certitude de l'espace. Le proche avec le lointain, le devant avec le dedans, le tactile et l'optique, l'ouvert et le fermé ,l'évidé et le saturé ; Ce dialogue confère à l'image sa qualité la plus fondamen

tale ,comme une sensation physique du temps, un souffle qui travers et fait respirer.

 

 

Patrick Bertucell


La belle série de photos des sculptures des jardins de Paris réalisées par le cristolien Patrick

Bertucelli est désormais disponible en cartes postales et portfolio chez Abyme édition.

 

Distribuée aussi à l'atelier du photographe (23, esplanade des Abymes), par la réunion des musées nationaux et dans les carteries.
 

 

Digard Corinne

12, Rue d’Hauteville
75010 Paris
Tél. : 01.42.46.26.94

 

 

Mannequins" est issu de l’événement médiatique qui a eu lieu aux Galeries Lafayette, où la styliste Chantal Thomas a installé en vitrine des mannequins femmes, pour présenter de la lingerie féminine.

 

Les photographies sont «encadrées» par un mince miroir de 3,5 cm qui permet au public de s’apercevoir furtivement comme voyeur, d’étudier ses propres réactions et ainsi de participer activement au processus à l’œuvre.

 

Entre proximité et mise à distance. D’autant plus que son image réfléchie par la mise en vitrine des photos, vient se confondre avec celle des passants, piégée par les reflets à la prise de vue. Ces vitrines le sont au sens fort, doublement : dans un premier temps, lorsque le contenant et contenu viennent s’y fondre, dans un jeu de matérialisation/dématérialisation et en tant qu’objet d’art mis sous vitrine. Ces boîtes capturent et font cohabiter simultanément différentes réalités, spatiotemporelles : le vrai et le faux, l’intérieur et l’extérieur, le privé et le public, hier et aujourd’hui. Chaque photo fonctionne en binôme, entre double et dualité. Qui imite qui ?

 

"Femme"- le corps féminin s’exhibe restructuré, en latex, matériau des préservatifs. Je joue sur sa charge érotique et sur son élasticité qui suggère la peau, et qui s’y substitue jusque dans ses parties manquantes, puisées dans le répertoire des sous- vêtements féminins (gaines, lanières).

 

J’évoque ainsi les paradoxes, les lisières de l’enveloppe et du vêtement, ainsi que la notion de corps ouvert, lieu d’échanges, de manipulation : la peau - latex a été cousue, gréffée. Des zips et des épingles portent sa mémoire. Les latex sont suspendus à des portants, en forme de pendus. Les cintres en satin molletonnés créent un petit boudin précieux qui pointe l’absence de chair de ces peaux évidées. Il s’agit defigurer les manques. Les couleurs vives et agressives des latex sont empruntés à la gamme colorée des gants ménagers.


Les latex témoignent d’une identité sexuelle féminine, à travers un processus de déconstruction et l'émergence d’une ligne de force. Femme : série latex. C.D. XII 1998.

 

Je développe depuis plusieurs années un travail sériel sur la communication. Avec comme vecteur le corps où se manifestent les affects. Les relations entre les choses, entre les êtres sont au coeur de mon activité. J’utilise la photographie dans un constant glissement vers l’objet, en mode introspectif, à la lisière du sociologique. En partant de la cartographie, en passant par la maladie et un questionnement sur l’identité/altérité.

 

Les notions de déconstruction et de reconstruction, avec les puzzles, opèrent en alternance ou simultanément une mise en ordre, à partir d’un chaos.La mise en forme qui en résulte joue des paradoxes.Les matériaux «caméléons» comme le latex et le miroir, conjugués avec le verre et le plastique viennent enrichir cette dialectique. Associés à la photographie, ils nous projettent, par le biais d’une copie à la fois exacte et hybride dans une réfl exion sur notre sensibilité.

 

Pivron Isabelle

5, rue Feutrier
75018 Paris
Tél. : 01.46.06.51.24

 

 

J’ai suivi des études artistique à l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs à Paris, durant lesquelles j’ai appris des techniques, des trucs et des concepts ; j’ai délibérément voulu rompre avec le mythe de l’artiste et de l’art qui m’avaient conduit à faire ces études, et me suis mise à la peinture en voulant me servir uniquement de mes moyens sans utiliser d’autres «artefacts » ou techniques de celles de mon intériorisation.

 

Durant dix années, non sans ruptures, j’ai voulu représenter ce face à face avec la mort, ce face à face vivant du deuil du mythe.

 

De ce concept qui finalement est devenu, après coup, un truc, j’ai abandonné la rigueur de la représentation pour mieux me laisser la possibilité d’émotions, de surprises du sens et du mouvement.

 

J’ai exposé à six reprises mes peintures dans des associations et une galerie associative : « Confluences » à Paris dans le 11e.

 

Je retrouve actuellement une liberté et les possibilités de mise en sens des représentations personnelles que je peux en faire m’ouvrent des perspectives, non pas de l’effort de représentation du monde ; j’ai maintenant compris qu’elle n’est pas nécessaire dans la liaison avec ceux qui regardent la peinture.

 

Je préfère que chacun regarde la liaison, sans l’interface des aspects techniques de l’objet d’art du tableau.

 

Et c’est dans ce sens que je travaille en ce moment pour trouver les formes les plus sensibles avec la représentations de la chute des mythes comme liaison interhumaine à l’inverse de ce que fut la peinture pour moi dans l’enfance : «un truc», un «bouche-sujet». Je laisse le monde à son énigme et cela me permet d’intégrer, de mettre en relief mon intériorité.

 

Golendorf Génia

20, Rue des Rosselins
75020 Paris
Tél. : 01.44.93.70.56

 

Les hommes blessés n° 3 : plâtre et acier - 65x50x20

 

Après une dizaine d’années de peinture, mon passage à la sculpture s’est opéré par l’attrait pour la diversité et l’exubérance des matériaux. Mieux que des taches de peinture, ils pouvaient m’être plus utiles dans ce à quoi je tentais d’aboutir.

 

Au fil du temps, l’expérimentation de toutes sortes dematières, ferraille, plâtre, tissu, papier, plastique, végétaux, m’a permis non pas d’adapter mon travail en fonction de chacune d’entre elles mais au contraire de les utiliser de façon à renforcer les émotions que je désire voir se dégager de mes sculptures, chaque surface véhiculant sa propre symbolique.

 

Matériaux pauvres, parfois puisés dans les déchets, matières fragiles et périssables, tantôt douces et tantôt rudes au toucher, assemblages dont l’équilibre se trouve souvent souligné par une armature d’acier délimitant l’espace qui les unit dans un instant donné.

Depuis quelques années, l’essentiel de mon travail consiste à tenter d’exprimer le rapport analogique entre l’homme et la nature, particulièrement dans les blessures dont ils sont les victimes.

 

 

 

Alain Souvray


La Galerie d’Art débute sa saison avec une sélection d’œuvres récentes du peintre cristolien Alain Souvray.

 

Plus de deux années de travaille et de recherches ont abouti à cette nouvelle série de toiles et de dessins qui seront exposés du 14 Septembre au 20 octobre 2002

 

Stein Anna

11 bis, Rue Lemercier
75017 Paris Tél. (sur rendez vous) : 06.03.69.71.17

 

 

D’emblée on décèle chez Anna Stein, peintre et sculpteur d’origine hongroise, une technique parfaitement maîtrisée mais libérée de tout académisme et se jouant des contraintes. L’artiste sait allier une démarche à la fois élaborée et instinctive, ce qui fait la source de son travail et l’audace de son expression.

 

Une œuvre caractérisée par le mouvement qui développe une mythologie où le sacré et le profane forment leur passé en prise sur l’actualité. Anna Stein avoue sa propension au baroque dans des toiles où les architectures impalpables, l’audace des coloris et des volumes se meuvent en personnages et où le paysage devient anthropomorphe.

 

Pas de description dans cet univers de l’évocation peint dans une rutilance de couleurs. Des volumes fermement installés qui distordent l’espace, démantèlent la lumière. L’huile qu’elle maîtrise parfaitement lui permet d’accéder à une ampleur qui caractérise ses tableaux. Douée d’une vive sensibilité et d’une rare fécondité, Anna Stein s’est également exprimée dans différents matériaux. Elle a créé, entre autres, de remarquables sculptures en bronze : étranges silhouettes fragmentées, suggérant des visions incertaines, inquiétantes parfois. Elles évoquent de curieux promeneurs de l’irréel.

 

Anna Stein vit depuis très longtemps en France. Elle expose dans divers lieux du monde depuis une trentaine d’années et nombre de ses œuvres font, aujourd’hui, partie de collections publiques et privées.

 

Textes extraits de : «Femmes artistes international» n°38 et «La Gazette de l’Hôtel Drouot» n°8.
Depuis 1980, Anna Stein a participé à de nombreuses expositions personnelles, collectives et de Salons en France et à l’étrangers. Nombres de ses oeuvres font partie de collections privées et publics.

 

 

Wierzbicka Wela

Atelier
44, rue Falkirk
94000 Créteil
Tel/Fax: 01.39.91.50.78
E-mail : wela@wanadoo.fr
 

Irréalités réelles


En se promenant dans une installation de Wela on se croit dans un roman de Gogol tant l’irréalité est réelle ! Il ne s’agit pas d’un quelconque procédé technique susceptible de nous tromper, mais d’une réalisation plastique simplement ingénieuse.

 

Déçue de voir le public passer dans une salle d’exposition sans s’arrêter un peu plus devant les toiles, Wela décide de faire un geste de plus : faire sortir le tableau de lui même, le présenter de l’intérieur. Ses installations sont précisément des solutions à ce problème abstrait précis : comment montrer le contenu de l’œuvre « à ciel ouvert » ? Comment ouvrir l’espace à deux dimensions à la spatialisation réelle ?

 

Le spectateur est invité à se promener dans le tableau, et non pas à le contempler de l’extérieur : cassez la vitrine d’une boutique, vous y êtes !

 

Mais si dans la vitrine vous trouvez des chaussures, ceintures, sacs à main et je ne sais quel autre objet utile à votre vanité, dans une «installation-tableau» de Wela vous allez trouver des lignes, des formes et des couleurs, tout ce dont se sert le peintre pour essayer de vous donner cette émotion pure qui est la nourriture de l’âme, la vie de l’intelligence, la palpitation de la mémoire.

 

Contrairement à d’autres peintres, l’apparence de la réalité extérieure ne l’intéresse pas. Un banc, une rue, les contours d’un arbre, le vol d’un oiseau ne la concernent pas directement. Par contre, le poids, l’épaisseur, la densité de leur présence, font partie de ses préoccupations artistique quotidiennes. La réalité intérieure des êtres humains, les mécanismes qui les poussent à agir, à réagir entre eux, Wela en fait ses étranges modèles.


Violence et douceur, souvenirs qui s’effacent, prises de position, révoltes, ont aussi un poids, une épaisseur, une densité.


Le vertige atterre, la joie suffoque ou bien libère le . ot de vie qui nous meut. L’artiste s’intéresse à ces choses-là qui sont de l’ordre de l’invisible, elle souhaite les traduire dans la matérialité même du dessin.


Le crayon à la main, elle développe une sorte de métaphysique des monades, mais en dessinant, elle en augmente le mystère. A ce propos, ses dernières toiles en noir et blanc sont signicatives. Un dessin rocheux, anguleux, épineux même, trahit une main sûre et une âme en mouvement.

 

Elle commence par griffonner quelque part sur la surface de la feuille blanche puis elle monte son dessin comme le sculpteur monte le plâtre sur un . l de fer. Elle poursuit sa ligne, la grossit, lui donne du poids, de l’épaisseur.

 

Au besoin, elle l’étale ; l’efface sans repentir. Le gommage fait partie du dessin, comme la mémoire fait partie du présent, par ellipse. Sa composition se pose sur la toile au fur et à mesure du besoin immédiat de la forme en train de naître, se nourrissant d’elle même.

Par moments, on reconnaît des éléments . guratifs jamais aboutis entièrement. Un pied de chaise qui tombe du chaos par exemple. Une . gure humaine, une main, une pointe.

Ileana Cornea Critique d’art - Paris - IX 2001.

 

 

Wela (Elisabeth Wierzbicka)

34, rue Ney, Résidence des Maréchaux
95570 Bouffemont


Née en 1964 à Cracovie

 

Formation :

1984-1989 - Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Cracovie, Pologne, Diplômée en section de gravure sur métal.
1989-1990 - Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
1991 - Membre de La Maison des Artistes, Paris.
1996 - Membre de Groupe Artistique Internationale«Völkerwanderung».
1995 - Membre d’Union des Artistes Polonais en France.
1996 - Ouverture de son atelier de peinture avec concours de la ville de Créteil. 1999 - Création et direction de l’APAC (Association pour la Promotion de l’Art Contemporain), Bouffémont et Créteil. 2000 - Membre de Artistes Associés à Créteil. Membre d’A.I.A.P. UNESCO (Association Internationale des Arts Plastiques), Paris.

 

Expositions personnelles :

2002 - Galerie Innerspaces, Poznan, Pologne. 2000 - Galerie 13, Polclub, Paris.
1999 - Carrefour des Arts, Metz. 1999 - Maison des Arts A. Malraux (duo), Créteil. 1999 - Espace Culturel E.Leclerc «Pyramedias» (duo), Domont.1998- Salon101, Varsovie. 1998 - Galerie d’Art BWA «U Jaksy», Miechow, Pologne.
1998 - Galerie Remp’Arts, Toulon, (catalogue).
1998 - Espace Culturel F. Mitterrand, Beauvais.
1996 - Galerie Pascal Vanhoecke, Paris.
1994 - Festival International des Films de Femmes, Maison des Arts, Créteil (catalogue).
1996 - Polish Cultural Institute, Londres.
1995/96 - Galerie Jenner, Osterholz-Scharmbeck, Allemagne.
1995 - Galerie Tenri de Paris, L’Association Culturelle Franco-Japonaise. 1993 - Galerie Posk, Londres. 1992 - Galerie Bernanos (duo), Paris.

 

Expositions collectives (extrait de 1994 à 2002) :

2002 - Galerie d’Art de Créteil, Salon «Montmartre pour Europ », Paris, (catalogue), Château Drulon, Drulon, Salon Miac Plus’Art, Le Mons,(catalogue).
2001 - Artistes Polonais dans le Monde, Convent dels Angeles, Barcelone, Espagne, Galerie ZPAP Sukkiennice, Cracovie, Pologne.
2000 - Salon « Itinéraires », Marie de Levallois-Perret (catalogue). Rencontre des peintres en plein air «West-Est», Gorlice, Pologne (catalogue), 8ème Symposium Internationale de la Sculpture, Vilnius, Lituanie Atelier Z, Paris Festival d’Art Volant «Méteoros», La Passerele, Saint-Brieuc, Jeune Création Contemporaine, Hôtel Drouot- Richelieu, Paris Espace Culturel E.Leclerc « Pyramedias », Domont.
1999 - Symposium Internationale de la Sculpture «Le Vent des Forêts», Lahaymeix, Meuse (catalogue, http://assoc.wanadoo.fr/enmeuse/)
Jeune Peinture Contemporaine, Hôtel Drouot-Richelieu, Paris.
1998. Salon d’Art’95, Bouffémont (catalogue). Salon d’Art Plastiques de Marne-la-Vallée, Noisy le Grand (catalogue).
Symposium du métal, Jardin du Bildungszentrum Gmbh, Erfurt, Allemagne. « Rencontres » L’Istitut Polonais, Paris (catalogue). Galerie d’Art de Créteil, Créteil.
1995/96 - «Informel», Galerie Altes Rathaus, Worpswede, Allemagne.
1995 - Union des Artistes Polonais en France, Les Ulis (catalogue), «Völkerwanderung», Galerie Altes Rathaus, Worpswede, Allemagne. Art Actuel, Paris.1994 - « Völkerwanderung » : Goltzchtal Galerie Nicolaikirche, Auerbach, Allemagne. Etc...

Renseignements : Union locale des centres culturels et sociaux de Créteil Tel : 01 43 99 06 23